• En guise d’introduction

    Par Chloé:

    Femme de bientôt 46 ans, fille et femme de militaires comme ma sœur (30 mois d’écart). Nous avons été élevées par des parents aimants, mais strictes concernant la discipline, l’ordre et l’apprentissage scolaire, pardonnant l’incompréhension, mais pas la fainéantise ou le manque de travail.

    Ceux-ci étant adepte de la fessée (nés en 1943) pour l’éducation des enfants, vous pouvez donc imaginer que les deux sœurettes espiègles et prêtes à toutes les bêtises, aient connues de belles envolées fessières.

    Ma sœur (avocate) et moi (responsable administrative), avons reprit ce principe d’éducation envers nos enfants, en accord avec nos époux (eux-mêmes élevés au martinet et devenus, Officier de Marine).

    Comme vous l’aurez tous compris, ma sœur et moi, comme nos maris sommes également adeptes de la fessée, comme punition pour les enfants. Il se trouve que dans le cadre de mon travail à 80%, je bénéficie de tous mes mercredis et des vacances scolaires (sauf exception).

    Je bénéficie également d’horaires aménagées depuis ma prise de fonction au sein du club, en 2004. Me permettant de récupérer mon aînée et ma nièce du même âge en maternelle, à partir de 2007.

    Et au primaire par la suite, même chose avec mes cadettes (Manon et Gaëlle) et mon neveu (Kevin), ainsi que les enfants de mes amies.

    Avec ma qualité de responsable administrative au club et ma seconde Sylvie (36 ans), qui a les mêmes convictions que moi concernant l’éducation des enfants, nous avons eu l’occasion de rencontrer des parents bien sûr. Mais aussi des Mamans seules avec leurs enfants, suite à des drames divers (décès, divorces compliqués, abandon du père) totalement perdues faces à leurs gamins (es).

    Telle que Vanessa, rebelle envers les professeurs ou sa mère et les adultes en général. Ou d’autres en perdition face aux évènements subis.

    J’ai donc aidé ces Mamans à retrouver une autorité parentale, qu’elles avaient perdues envers leurs mouflets (tes) selon cette méthode commune à ma sœur et Sylvie, que j’ai cité précédemment. Ces Mamans ont repris les choses en mains vis-à-vis de leur progéniture et sont devenues nos amies, à toutes. Ce qui fait que je garde leurs mouflet (tes), le soir, les mercredis et durant les vacances scolaires.

    Je dois également préciser que Sylvie (Maman de Nadège, 17 ans), Christiane (Maman de Vanessa,18 ans), ma sœur et moi (Magalie et Nolwen, 17 ans) avons toutes formées nos grandes filles à corriger les plus jeunes, frères, sœurs ou enfants de nos amies en notre absence, lorsqu’ils font des bêtises ou sont insolents (tes).

    Ce sont des jeunes filles responsables et de brillantes lycéennes, auxquelles nous faisons confiance. Même si parfois elles passent encore sur nos genoux. Vous trouverez donc quelques récits où ces grandes filles interviennent.

    Alors vous comprendrez que ce blog est constitué de témoignages et non de fictions. Par conséquent, j’invite tous les internautes ayant un vécu identique passé ou actuel avec leurs enfants à m’adresser leurs témoignages sur l’une de mes adresses mail: « chloedemaitre@gmail.com » ou « lafesseevuedesdeuxcotes.blog »

    Avis à mes lecteurs: Vos commentaires sont les bienvenus, s’ils restent dans le cadre de mes témoignages, car lire c’est bien, mais commenter c’est mieux.

    Chloé Demaître

  • Nolwen raconte : Mes années collège (15)

    Cette dernière remarque nous fait glousser, comme des dindonnes. Mais mon esprit est ailleurs ou plus exactement à l’instant où on ira se coucher, en pensant à mes fesses qui vont morfler grave. De plus je ne pense pas pouvoir faire comme ma cousine, qui n’avait pas remis sa culotte sous sa robe, étant en pyjama. Néanmoins, ma chère mère va trouver une solution, plutôt honteuse pour mes frangines et moi.

    Papa est revenu au salon, après s’être changé. On les entend, clairement reprendre leur discussion à commencer par Maman, suivit de mon père et ma Tante.

    Maman :

    « Eh bien, mon chéri, tu as fait un sermon à notre fille ou tu as discuté avec ses fesses, car on n’a rien entendu ? »

    Papa :

    « Oui et non, ma douce. Je lui ai servi un gros sermon et promis une fessée, ce soir au coucher. Car quand j’ai vu l’état de ses fesses en passant ma main dessus, j’me suis dit que tu l’avais très, très bien soigné. Et qu’en rajouter une couche de suite, serait horrible pour elle et ses p’tites fesses, surtout avec ma paluche et qu’elle ameuterait tout le quartier. D’où ma décision de reporter celle-ci à ce soir. Tu n’es pas d’accord, ma chérie ? »

    Maman :

    « Si, si mon trésor. Lui en remettre une couche immédiatement après ce que je lui ai déjà mis n’aurait pas été raisonnable et le report à ce soir est judicieux, celui-ci ne pouvant faire que du bien à sa cervelle de gamine, la faisant cogiter. J’ai même une idée pour le dîner. »

    Tata Stéphanie :

    « Eh bien ma chère grande sœur et toi Bernard, je suis ravie de voir la complicité qui vous animent et il en même pour moi, avec Christian. Je suis du même avis que vous, pour ma grande nièce, même si elle a dépassé le seuil de la tolérance. Comme Magalie, il y 3 semaines chez moi et que tu as corrigé de suite Bernard, ta réaction plus vive que la mienne m’avait surprise. Ma fille doit s’en souvenir, son Parrain adoré qui la déculotte pour une bonne fessée, ça ne s’oublie pas. »

    Les voilà partis à rire tous les 3 de nos déboires respectifs, Maman n’a toujours pas libéré mes frangines du coin. Magalie et moi, reprenons notre conversation.

    Moi :

    « Tu vois, Mag, j’étais certaine que Maman et Tata approuverait la décision de Papa, donc j’ai plus qu’à préparer mes fesses pour ce soir. Parce que je vais jongler, dis-moi Mag, tu peux aller dans la salle de bains de mes parents chercher la lotion apaisante sur l’étagère et donc on sait déjà servi, lorsque Maman nous avait trop chauffé le popotin et m’en passer sur les fesses, s’te plaît ? »

    Magalie :

    « Bah…euh…oui, bien sûr, Nono. Mais j’voudrais pas qu’ils me voient faire, sinon je risque d’en prendre une moi aussi, voire même deux entre Tata et Maman !!! »

    Moi :

    « Mais, non Mag, tu passes par cette porte toujours fermée, le double de la clé est sur ma commode et celle-ci communique avec la suite parentale, la salle de bains est juste sur la gauche. C’est vrai que d’habitude, c’est moi qui y vais. De toute façon, ils sont trop occupés à discuter, en attendant l’arrivée de ton père. »

    Magalie :

    « Ok, mais tu surveilles ? »

    Moi :

    « Oui, oui, t’inquiètes je sifflerais au besoin. »

    Magalie réapparait, aussi vite qu’elle est partie et s’installe à côté de moi, descends un peu plus mon pyjama pour avoir accès au haut de mes cuisses que Maman n’a pas épargnées. En rigolant, je lui dis.

    Moi :

    « Oh, bah non, tu ne vas pas t’y mettre, toi aussi ? »

    Celle-ci me réponds, avec une certaine ironie à l’image de nos mères, en me mettant une p’tite claquette symbolique.

    Magalie :

    « Mais, non Nono, rassures-toi. Quoique tu as de très jolies fesses parfaites, comme les miennes, attirant facilement les mimines de nos chères Mamans, pour de bonnes fessées. Je mets as part nos Papa chéris, car c’est beaucoup plus rare et heureusement pour nos popotins. »

    Moi :

    « C’est vrai, Mag, tu as raison. Sauf que ce soir, le mien vas y avoir droit, comme le tien il y a 3 semaines. »

    Elle m’en colle une seconde tout aussi gentillette, pose sa tête sur mon dos et on se met à rire toutes les deux, comme des fofolles. Heureusement, Mag a fermé la porte de ma chambre donnant au couloir, avant de me rejoindre pour passer la crème sur mes fesses. Ce qu’elle fait avec une extrême douceur, qui apaise rapidement les derniers relents de douleur et de chaleur. Avant de vivre, une augmentation de celles-ci au coucher avec la paluche de mon Papounet chéri. Mais à ce moment-là, je suis bien, mes fesses aussi, grâce aux soins de Magalie qui retourne vite fait remettre en place le tube de crème à sa place.

    Nous n’avons plus qu’à attendre l’arrivée de mon oncle Christian et Mag rouvre la porte à demi, au moment où Maman libère mes frangines du coin, avec des instructions strictes et précises sous menace dans prendre une nouvelle.

    Maman :

    « C’est bon les filles, vous pouvez sortir de là et baisser les bras, je garde vos bas de pyjamas donc vous n’avez pas besoin pour l’instant. Vous allez de suite, mettre le couvert en faisant attention de ne rien casser, sinon Tata et moi on s’occupe de vos p’tites fesses. On n’aura même pas la peine de vous déculotter. C’est compris ? »

    On entend mes frangines répondre à l’unisson ‘‘Vouiiiii, M’mannn’’ et quelque instant plus tard, mon oncle taquin et volubile qui rentre.

    Tonton Christian :

    « Bonsoir, la compagnie, comment allez-vous ? Ô je vois qu’il y a eu un peu de grabuge ici, non ? »

    Papa, son supérieur, le reprend avec une ironie militaire bonne enfant, car les deux beaux-frères s’adorent.

    Papa :

    « Dites-moi, Capitaine, vous serait-il possible de dire bonsoir à ces dames avec une certaine déférence ? Elles ne sont pas vos troupes de sous-mariniers et de matelots que vous commandez, sur la base. En plus parmi elles, il y a votre épouse qui mérite bien d’autres égards de votre part. »

    Tonton Christian :

    « Euh…oui, oui…Commandant, pardon. Mesdames je vous prie de bien vouloir m’excuser pour cette incivilité et vous souhaite le bonsoir du jour, en me permettant de vous embrasser. »

    On entend alors nos chères mères, partir dans un fou rire, suivit par Papa plus réservé. Mon oncle devant s’être jeté comme à son habitude sur sa belle-sœur et sa femme. Ce qui ne l’empêche pas de poursuivre, après les accolades, ses recherches sur le pourquoi ses plus jeunes nièces ont le cucul à l’air.

    A suivre….

  • Nolwen raconte : Mes années collège (14)

    L’entendant rentrer, en plus de mes pleurs, je me mets à trembler comme une feuille morte ce que Magalie ressent, ayant sa main posée sur mon dos. Elle essaye donc de me rassurer tant bien que mal.

    Magalie :

    « Allons Nono, calme-toi ma belle. Rien n’est encore sûr avec Tonton, il sera peut-être plus compréhensif que Tata. Il va te sermonner c’est sûr, mais avec la rouste phénoménale que ma chère Tante t’a filée, il jugera que celle-ci est suffisante. C’est sans garantie, je l’admets mais on ne sait jamais. Aller ma poule, arrêtes de pleurer et souris-moi, tu sais que je suis avec toi. »

    Moi :

    « Oui je sais, Mag, pas comme mes chipies de frangines qui ne vont pas hésiter à me lancer des piques en cachette de Maman, pour ne pas en prendre une. Mais j’ai tout même très peur avec Papa, qui à coup sûr va venir me voir dès que Maman, lui aura expliqué. »

    On les entend discuter, lui, ma Tante et Maman. Je ne fais pas trop attention à leur conversation, perdue dans mon brouillard, avec mes fesses encore très chaudes et que j’n’ai pas recouvertes. Lorsqu’il débarque dans ma chambre, encore en tenue de service « mon dieu c’que mon père est beau comme ça » mais à ce moment-là il me fout surtout les jetons. D’autant qu’il demande à Magalie de bien vouloir se retirer, affolée je tente de remonter mon pyjama et il me stoppe dans mon élan.

    Papa :

    « Non, non, ma chérie, laisse ton pyjama où il est. Bonjour, Magalie, peux-tu me laisser seul à seul avec ta cousine, pour que l’on discute tous les deux et fermer la porte, s’il te plaît. Tu pourras revenir ensuite, quand j’en aurais terminé. »

    Magalie :

    « Euh, voui, Parrain ! J’m’en vais immédiatement. A tout à l’heure, Nono, courage j’suis avec toi ! »

    Ses derniers mots se veulent réconfortant à mon égard, sauf que pour moi, ils résonnent comme une condamnation. Je me vois déjà sur les genoux de mon Papounet, prenant une deuxième rouste encore plus consistante que celle de ma chère mère qui m’a pourtant bien soigné les fesses. Mais il s’assoit à mes côtés passe sa main gauche dans mon dos et sur mes fesses endolories. Puis il démarre son sermon sur un ton très calme.

    Papa :

    « Ma p’tite chérie, je constate que Maman t’a bien soigné et elle a eu raison, car une demoiselle de 10 ans ½, qui se permet de mentir effrontément à sa mère pendant plus de 2 jours, pour une punition scolaire, ne mérites pas autre chose qu’une bonne raclée cul-nu cuisante. De plus je suis très déçu par ton attitude envers moi, me bernant sans vergogne à jouer les p’tites filles modèles, dimanche. Donc pour ta première colle de collégienne, je passe l’éponge, Maman t’ayant bien puni pour celle-ci. Par contre, en ce qui concerne ton mensonge et ta tromperie vis-à-vis de ton Papounet chéri, sans compter ta rébellion envers elle, lorsque qu’elle a voulu te déculotter. Il est hors de question que je te laisse t’en sortir, à si bon compte. Même si tes fesses sont encore chaudes. Pour ce qui est de tes p’tites sœurs, elles n’ont eu que ce qu’elles méritaient pour s’être moquées de toi. Ce qui ne sera pas le cas, avec Magalie, au moment d’aller vous coucher. Par conséquent ma p’tite chérie, reposes toi bien et prépares également tes fesses pour ce soir. Car je ne vais pas plaisanter. »

    Mon père me scotche, moi qui m’attendais à passer sur ses genoux immédiatement, la porte étant fermée. J’en suis quitte pour angoisser durant ce début de soirée et tout le repas, à attendre cette trempe carabinée. Fort heureusement ma chère Tante du genre sarcastique avec mes deux p’tites sœurs, ne fera aucune allusion pendant celui-ci.

    Restant allongée sur mon lit, je n’en reviens pas. Papa sort de ma chambre en laissant la porte à demi ouverte, je vois revenir Magalie, à qui je transcris le sermon et la promesse de Papa.

    Moi :

    « Mag ! Je n’en reviens pas ! Papa caressant mes fesses encore bien rouges et bouillantes, m’a juste servi un sermon du diable, en me précisant qu’il était très déçu par mon comportement vis-à-vis de Maman et de lui. »

    Magalie :

    « Il ne t’as pas foutu une raclée ? Comme moi, il y a 3 semaines, pour avoir été insolente envers Maman, sous ses yeux. Pourtant j’en étais presque sûr, quand il m’a demandé de refermer la porte ! »

    Moi :

    « Oui moi aussi, mais non. Néanmoins il me l’a promise pour ce soir au moment où on ira se coucher. Donc sous tes yeux, celui-ci ayant compris que toi, tu ne te moquerais pas de moi, comme mes frangines et que tu me consoleras. Mais j’angoisse terriblement, car il ne va pas faire semblant d’après ce qu’il m’a dit et demain au collège, il faudra que je m’asseye avec précaution. Mais, dis-moi Mag ! Tu m’l’a pas dit, qu’il t’avait filé une rouste, chez toi ? »

    Magalie :

    « Euh…non, j’avais trop honte. J’pensais que Maman allait me la donner, mais elle n’en a pas eu le temps. Tonton était juste derrière moi et il m’a chopé par l’oreille, pour me tourner vers lui. Avant de s’asseoir et me jeter au travers de ses cuisses, il a retroussé ma robe et baissé ma culotte, pour me filer une sacrée rouste. Qui m’a fait très mal, car comme Papa, il a de vrais battoirs en guise de mains. »

    Moi :

    « Oh oui, Mag, ça j’le sais et c’est pour ça que j’angoisse autant. Parce que même si ses fessées sont plus rares et plus courtes que celles de Maman, à chaque fois je finis avec un volcan, à la place des fesses. Alors j’ai carrément la trouille, en plus il faut que j’attende et que je dîne avec mon popotin sensible, même si sa température a un peu baissé. »

    Magalie :

    « Ouais, comme moi y a 3 semaines, Maman avait ajouté un coussin sur ma chaise, pour le dîner et j’n’avais pas remis ma culotte. »

    Moi :

    « Ouais, pour éviter l’effet cocotte-minute. »

    A suivre……

  • Nolwen raconte : Mes années collège (13)

    Si j’ai pris une grosse tannée de Maman pour mes erreurs, mes frangines viennent de ramasser une bonne fessée, pour s’être moquées de moi. Ce que Magalie et moi, n’avons pas fait vis-à-vis d’elles, compatissant plutôt à leurs sorts. Car ma chère mère, n’a pas fait semblant avec leurs p’tites fesses de gamines. Quelque part je suis contente quelles en ait reçu une pour leurs moqueries, même si cela me chagrine un peu pour leurs p’tits cucul menus, que Maman n’a pas ménagé. Celle-ci s’adresse aux deux sauterelles, toujours avec cette même ironie, la caractérisant.

    Maman :

    « Bien, mesdemoiselles, maintenant vous aller au coin en l’état, mains sur la tête. Attendre l’arrivée de Papa et de votre Tante, avec Kevin. Je suis certaine que celle-ci ne manquera pas de commenter votre position. Tant qu’à vous les grandes, aller donc dans la chambre, comme ça vous pourrez discuter tranquillement et toi, Nolwen, reposes toi un peu avant l’arrivée de ton Papounet chéri. »

    Nous regagnons ma chambre, donc je laisse la porte entre-ouverte. Je m’allonge sur mon lit après avoir baissé mon bas de pyjama et ma culotte, pour sentir l’air frais sur mon popotin en feu. Mag regarde l’état de mes fesses et me dit.

    Magalie :

    « Eh ben, ma pauvre, Tata ne t’a pas raté ! Tes fesses sont rouge carmin. Tu vois, je te l’avais bien dit ce matin, que tu avais fait une connerie, en ne lui avouant pas ta colle dès vendredi soir. C’est sûr, elle t’aurait filé une bonne fessée, mais pas une telle tannée. En plus elle va tout dire à Tonton et sincèrement je ne sais pas qu’elle réaction, il aura, quand il va apprendre que tu as menti à Tata, pendant tout le week-end. »

    Moi :

    « Je sais Mag, c’est ce qui me fait très peur. Pas à cause de ma colle, mais pour le fait que j’ai menti à Maman et l’ai également berné, avec mon comportement de p’tite fille modèle. Alors avec lui, si les fessées sont plus courtes, elles sont beaucoup plus denses. Et j’ai franchement la trouille. »

    Magalie :

    « Ouais je sais, Nono, comme moi avec Papa et j’comprends que t’ai la trouille et je te plains vraiment à l’avance. S’il décide de t’en coller une autre, immédiatement ! »

    Moi :

    « C’est sûr, j’vais morfler grave et j’aurais un peu de mal à m’asseoir demain au collège. Mais peut-être qu’il va me réserver celle-ci au moment d’me coucher et tu seras là, pour me consoler. L’autre consolation, sera l’absence de mes frangines. Alors je flippe, tu comprends ? »

    Magalie :

    « Oui, Nono, j’comprends et j’voudrais pas être à ta place, dans ce cas-là. »

    A ce moment, on entend rentrer ma Tante avec Kevin et s’adresser à Maman.

    Tata Stéphanie :

    « Eh bien, grande sœur, je constate que tu as rougi une nouvelle fois, les p’tites pommes d’amour de mes p’tites nièces. Qui ont l’air, d’être très gênées d’exposer ainsi leurs popotins tout rouges, surtout ma p’tite filleule chérie pudique. N’est-ce pas, Gaëlle ? »

    Bien entendu, ma p’tite sœurette ne répond pas, devant avoir les joues du haut aussi rouges que celles du bas, suite au sarcasme de sa Marraine. Ce remettant simplement à pleurnicher. Et Maman enchaîne.

    Maman :

    « Ô c’est très simple, p’tite sœur. Ces deux gazelles se sont moquées de leur sœur aînée, durant la fessée que je lui donnais sous leurs yeux et ceux de ta grande fille, pour l’exemple. Elle, se montrant compatissante au sort de sa cousine. »

    Tata Stéphanie :

    « D’accord, Clo, je comprends mieux, pour ces p’tites demoiselles au cucul rouge. Mais tu m’intrigues au sujet de ma grande nièce, qu’à t’elle fait pour mériter cette fessée ? A-t-elle été insolente avec toi, comme Magalie me l’a fait , il y a 3 semaines ? Pas de chance pour elle, son oncle était juste derrière et c’est lui qui l’a attrapé par l’oreille, avant de lui flanquer, la bonne fessée cul-nu qu’elle méritait. »

    Maman :

    « Oui je sais, il m’en a parlé, en rentrant. Eh bien non, sœurette. Elle a simplement reçu sa première colle de collégienne vendredi, en dernière heure de cours et me l’a caché durant tout le week-end, jouant les p’tites filles modèles même face à son père. Donc, je te laisse deviner ma colère quand j’ai découvert ça sur le site, ce matin. »

    Tata Stéphanie :

    « Je l’imagine très bien, tu devais fulminer. Est-ce que Bernard est au courant ? »

    Maman :

    « Non pas encore, il ne devrait plus tarder et je vais tout lui expliquer. Quand il verra, c’est deux p’tites princesses cul-nu au coin. »

    Tata Stéphanie :

    « Ô la, la ! Ma chère grande nièce, risque d’en prendre une deuxième carabinée de son Papa. »

    Maman :

    « C’est fort possible, Steph, d’autant que celle-ci sait un peu rebellée quand j’ai voulu la déculotter, retenant sa culotte par l’élastique au point de le faire craquer. Ce qu’elle m’a fait par le passé, alors j’ai trouvé la parade en la basculant aussitôt sur mes cuisses et lui ai filé une première tournée, par-dessus celle-ci. »

    Tata Stéphanie :

    « Ah ! Oui, Maman l’avait fait à plusieurs reprises avec moi, qui refusait d’être cul-nu à cause de ma pudeur prononcée. Comme ma p’tite filleule Gaëlle ou mon fiston. »

    Maman :

    « C’est ça, ma chérie, de plus tout en claquant son popotin. Je lui ai demandé si elle était satisfaite et est-ce que sa p’tite culotte protégeait bien ses jolies fesses. Bien évidemment, la réponse fût « Nonnnn, M’man », il faut dire que je n’ai pas retenu mon bras. »

    Tata Stéphanie :

    « Ça je n’en doute pas une seconde, grande sœur, comme Maman à l’époque. Hi, hi, hi. »

    Maman :

    « Exact et elle l’a senti passé, malgré sa p’tite culotte pas très protectrice. Que j’ai fait glisser vers le bas ensuite, pour la vraie bonne fessée qu’elle méritait. Hi, hi, hi. »

    Ma Tante et Maman rient ouvertement de mes déboires, ceci sous les oreilles attentives de mes frangines au coin. Ce qui va alimenter leurs possibilités de petites piques, à mon égard et qui me fait à nouveau pleurer, ma cousine me console comme elle peut. D’autant que Papa, rentre à ce moment-là.

    A suivre……

  • Nolwen raconte : Mes années collège (12)

    Maman :

    « Alors mes p’tites cocottes, la fessée de votre grande sœur vous as bien distraites, toutes les deux ? »

    Mes frangines deviennent toutes pâles, ayant visiblement compris les intentions de notre chère mère. C’est Manon la douillette et plutôt affolée qui réponds en premier avec fébrilité, suivit de Gaëlle plus frondeuse qui élève la voix avec insolence, genre de chose que Maman n’apprécie pas, comme le mensonge et je viens d’en avoir la preuve.

    Manon :

    « Euhhh…nonnnn…euh non, Maman. J’te promets. »

    Gaëlle :

    « Bien sûr que non, M’man ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ! »

    Maman :

    « Ne mentez pas ! Magalie et moi, avons bien vu, que vous mettiez vos mains sur la bouche pour ne pas exploser de rire. Quand je donnais sa fessée à Nolwen, de plus en montant à l’étage, je vous ais clairement entendu chuchoter et glousser comme des dindonnes. Je pense que votre grande sœur aussi ! Donc cessez de me prendre pour une idiote ! Tant qu’à toi, Gaëlle, tu ne trouves rien de mieux, qu’ajouter de l’insolence à tes propos mensonger. Alors, mes p’tites chéries, si au départ j’avais prévu pour vous une dégelée courte et rapide, pour moqueries envers votre sœur. Eh bien, maintenant vous allez avoir droit à une bonne fessée, sous les yeux de votre cousine et votre sœur. Je crois que là, vous allez beaucoup moins rire. Aller hop, debout face à moi, mains sur la tête et vite, car j’ai le dîner à finir de préparer ! »

    Mes sœurs sont livides, avec des larmes coulant sur leurs joues. Tout en obéissant, à l’unisson elles implorent Maman, en pure perte.

    Mes frangines :

    « Nonnnn…Nonnnn…M’mannn ! Pas la fesséeeeee…s’te plaît ! On l’ferassss plus jamaisss ! Mais passss…la fessée, ça fait trop malllll… »

    Cela fait sourire Maman, qui joignant les gestes à la parole, passe ses doigts sous l’élastique du pyjama de Gaëlle qui par réflexe accroche ses mains a celui-ci, en implorant de nouveau notre chère mère.

    Gaëlle :

    « Nonnnnn…Nonnnn…M’mannn ! Pas la fesséeee…à nuuuu ! Bouhouhou… ! J’veuxxx…passss ! J’aime…passs ça! Bouhouhou… ! »

    Maman :

    « Tu plaisantes, ma chérie. Que tu le veuilles ou non, je vais vous déculotter toutes les deux ! Car une bonne fessée, c’est cul-nu ! Alors remets tes mains sur ta tête, sauf si tu en veux une deuxième, après avoir été au coin. Exécution ! »

    Ma p’tite sœur pleure plus fort, mais obéi et Maman descends tranquillement le pyjama jusqu’aux chevilles, puis en fait de même avec celui de Manon qui pleure également. Ce donc notre chère mère, n’a que faire. Mes sœurettes ont les fesses à l’air et je vois leurs p’tites pommes toutes blanches frémir de peur. Maman fait légèrement reculer Manon et saisi le poignet de Gaëlle, pour la faire passer sur le côté de son giron, la basculant sur ses cuisses dans le mouvement ! Ma p’tite sœur adresse de grandes suppliques inutiles, à notre chère mère qui lui réponds avec ironie.

    Gaëlle :

    « Nonnn… ! Nonnn…M’mannn ! Pas la fesséeee…ça fait malll ! J’t’en supplieeee…Bouhouhouhou… ! »

    Maman :

    « Ô mais si ma p’tite puce. Une bonne fessée de Maman, sur ton p’tit cucul tout nu et tout blanc. Pour t’être moquée de ta grande sœur et jouer l’insolente en niant les faits. Cela te fera le plus grand bien et ne t’inquiètes pas Maman va rougir tes p’tites fesses comme il faut. Je sais que ça fait mal, mais c’est le but d’une fessée, pour qu’on s’en souvienne. »

    La valse maternelle commence, faisant hurler Gaëlle spécialiste de ce genre de vocalises. Je vois Manon trembler de trouille, en attendant son tour. Il me semble que la main de Maman, qui couvre l’intégralité du fessier de ma p’tite sœurette (6 ans). Claque plus fort que d’habitude son p’tit popotin. Il faut dire que depuis l’âge de 4 ans et sa première déculottée (comme Manon), celle-ci en a reçu un certain nombre du fait de son caractère très trempé. Mes p’tites sœurs nous ayant devancées sur l’autel de la fessée déculottée, Magalie, moi et Kevin (5 ans) qui ne reçois que de courtes dégelées, par-dessus son slip ou le pyjama à cette époque.

    La fessée dure un peu plus longtemps également, les fesses de Gaëlle ont viré au rose framboise. Lorsque Maman arrête son bras quelques instants pour examiner son p’tit derrière et lui sert alors un final tonitruant qui fait se tendre ma p’tite sœur hurlant de douleur, sans simulation cette fois. Celle-ci, s’affale sur les cuisses de Maman, éreintée par la fessée et ses gesticulations qui lui ont fait perdre son bas de pyjama. La gardant quelques instants, Maman la remet sur ses pieds en la stabilisant, ma frangine est une vraie fontaine de larmes, celle-ci n’ose même pas porter ses p’tites mains sur ses deux pommes d’amour bien cuites. La faisant reculer Maman reprends la parole, en chopant le poignet de Manon et la bascule comme une crêpe sur son giron.

    Maman :

    « Aller, Manon, à ton tour. Tu es prête, pour la bonne fessée de Maman chérie ? »

    Manon :

    « Nonnnnn…Nonnnnn…M’man ! Ça m’fait trop mallll…à chaque fois…j’t’en supplieeee ! Passss…la fesséeeee… ! J’le ferais plussss…promissss… ! Maissss…pas, la fesséeeee… ! J’t’en prieeee… ! »

    Maman :

    « Bien sûr que si, ma p’tite cocotte, cette bonne fessée te feras aussi le plus grand bien, comme ta p’tite sœur. Pour t’être moquée de ton aînée punie et mentir. Or tu sais que j’ai horreur de ça. Bon allons-y. »

    Je vois les p’tites pommes blanches de Manon (un peu plus de 7 ans), plus rondelettes que celles de Gaëlle, frémir de peur étant la plus douillette de nous trois. Maman démarre sur un ton tonitruant, faisant hurler ma sœur, sa main parcoure tout le joufflu. Gauche, droite, centre, haut des cuisses faisant monter la voix de ma frangine dans les aigus. Il est certain que pour Maman, ce popotin offre un peu plus de surface que sa benjamine, à sa mimine redoutable. Alors que dire des nôtres à Magalie et moi.

    Maman fait une pause, avant de repartir de plus belle, sur chaque hémisphère et le haut des cuisses. Manon est déjà rincée, après avoir gigoté sous l’avalanche des claquées et perdu son pyjama. Elle lui sert alors le final, au centre de ces fesses, ma sœurette se cabre en hurlant sa douleur. Avant de s’affaler totalement sur les cuisses de Maman, qui la garde un moment en place et la remets sur pieds.

    A suivre….

  • Nolwen raconte : Mes années collège (11)

    Me gardant sur ses cuisses un moment, pour que je digère cette volée phénoménale. Elle m’aide à me relever, je suis une vraie fontaine de glandes lacrymales. Je me mets as dansé sur place, mes jambes étant entravées par le jean et la culotte, qui n’ont pas passés la barrière de mes baskets. Et celle-ci, me stabilisant reprend la parole, avant de me faire une surprise à laquelle je ne m’attends pas, suivi par deux autres plus prévisibles.

    Maman :

    « Voilà, ma puce, Maman chérie, t’as donnée la très bonne fessée que tu méritais pour ta colle et ton mensonge, car comme je te l’ai dit en début d’année, les règles ne changent pas pour Magalie et toi. Avec un supplément, pour avoir retenu ta culotte. Mais c’est fini, ma cocotte, alors maintenant tu vas aller au coin, les mains sur la tête pour réfléchir. Ensuite tu pourras remonter ta culotte et ton jean, à moins que tu ne préfères que ta cousine aille te chercher ton pyjama et tes chaussons, c’est d’accord Magalie ? »

    Magalie :

    « Euh, voui Tata pas de problème et je mettrais le mien, puisque ce soir je reste ici, avec Kevin que Maman ramènera après sa visite chez le dentiste, ainsi que mes affaires pour le collège demain. »

    Maman :

    « En effet, je suis au courant pour ce soir. En fait, je souhaiterais que vous restiez au salon avec moi, le temps que je commence à préparer le dîner et que les deux mouflettes montent se mettre en pyjama, aussi. Avant l’arrivée de Tata, d’accord les filles. »

    Je ne comprends pas trop ses intentions, comme ma cousine, mais venant de recevoir une trempe carabinée, je ne vais pas tenter de l’interroger et je réponds avec une certaine émotion.

    Moi :

    « Euh…voui…Maman. J’préfère…enfiler mon pyjama, car mes fessessss…sont trop sensibles et j’ai très peur quand Papa sera là, tu vois ? »

    Maman :

    « Oui, ma p’tite fille, je vois très bien. Mais c’est à toi, de t’arranger avec lui. Ô pas pour ta colle, mais pour le fait que tu m’as menti ce qu’il n’aime pas du tout, tu le sais ma chérie. »

    Moi :

    « Voui…Maman…j’le sais et ça m’fait peurrrrr…Mes fessessss sont…super cuites. Après ta fesséeeee. »

    Maman :

    « Je n’en doute pas, ma puce. Alors peut-être qu’il se montrera indulgent. De plus, je sais que tu es très douée pour obtenir ses grâces, bon là ce n’est pas gagné d’avance. Aller, ma chérie, va au coin comme je te l’ai demandé et vous les choupinettes allez-vous mettre en pyjama et redescendez après. Toi Magalie, je te fais confiance pour te changer et apporter son pyjama à ta cousine. »

    Magalie :

    « Oui, Tata, j’y vais de suite et je reviens. »

    Je vois mes deux frangines filer à l’étage, la main toujours sur la bouche et les entends, chuchoter et rigoler en montant l’escalier. Maman aussi et là je comprends ce que ma chère mère a l’intention de faire. Je me retrouve donc au coin, mains sur la tête, à la place de mes fesses j’ai un poêle surchauffé. La dernière situation identique, je l’ai vécue à l’âge de 8 ans 1/2, pour une insolence. Mais jamais je n’aurais pensé mis retrouver deux ans plus tard. Cette posture est très mortifiante pour l’égo, n’importe qui peut arriver à l’improviste et vous contempler dans cette tenue humiliante, même si on a fait des bêtises. Cela s’est produit plusieurs fois avec Mme Bertin, la voisine d’à côté qui porte des légumes de son jardin, à Maman. Celle-ci, veuve de guerre a élevé ses fils à coup de martinet donc elle connaît bien cette situation, l’ayant utilisé pour ses garçons.

    Ma cousine changée, me rapporte mon pyjama, j’enlève donc mon jean et mon tee-shirt et enfile celui-ci, laissant le bas aux chevilles avec ma culotte tout en chuchotant à Magalie les intentions de Maman, avant que celle-ci n’emmènes mes affaires dans la chambre après m’avoir répondu tout aussi bas et moi de reprendre ma position, avant le retour de ma chère mère qui est à la cuisine.

    Moi :

    « Mag, je crois que Maman, va coller une dégelée à mes frangines pour s’être moquées de moi et en notre présence. »

    Magalie :

    « C’est vrai que derrière leurs mains, je les sentais prête à rire, lorsque que Tata t’administrait ta fessée, moi j’avais mal pour toi. »

    Je sens ma cousine, pleine de compassion à mon égard, cela me fait chaud au cœur et finalement malgré mes craintes avec Papa, je ne suis pas mécontente que ces deux chipies reçoivent une bonne fessée de Maman, pour leurs moqueries. Ma cousine revient presque aussitôt, en même temps que mes sœurs et un peu avant Maman, les ayant sans doute entendues dévaler l’escalier. Celle-ci prend alors la parole.

    Maman :

    « C’est bien les filles vous êtes toutes là. Je vois que ta cousine t’a apporté ton pyjama, c’est parfait Magalie. Tu peux donc te rhabiller, sortir du coin et venir me voir. »

    Je remonte ma culotte et mon pyjama, avant de me diriger vers Maman assise sur le canapé, là où elle m’a donné cette magistrale fessée. Me présentant devant ses genoux toujours les mains sur la tête, celle-ci ne m’a pas dit de les baisser et je n’veux prendre aucun risque ! Alors avec un p’tit sourire elle me dit.

    Maman :

    « Ma puce, tu peux baisser les bras maintenant. Dis-moi, est-ce que tu as réfléchi à tes erreurs, en étant au coin ? »

    Moi :

    « Euh…voui, Maman et j’te d’mandes pardon. J’te promets que j’ne recommencerais pas. »

    Maman :

    « Ne promets pas, ma chérie, souviens-toi simplement de cette très bonne fessée de Maman, qui te pardonne. Aller, viens dans mes bras que je t’embrasse. »

    A ce moment, je suis sincère, n’ayant aucune envie de prendre une nouvelle tannée identique. Mais en fait, elle a raison et l’avenir va le confirmer. Après son câlin, elle me demande d’aller m’asseoir dans le fauteuil de Papa, tandis que Magalie est sur le sien et elle se lance dans une conversation avec mes frangines, assises à côté d’elle.

    A suivre….

  • Nolwen raconte : Mes années collège (10)

    Puis sans attendre, elle les dirige vers le devant de mon jean, ses doigts s’attaquant au bouton et la fermeture éclair. Le tout en commentant son action avec ironie.

    Maman :

    « Bon ça suffit, on ne va pas y passer la soirée. Mains sur la tête, que je fasse glisser ce jean, vers tes genoux, ensuite ta p’tite culotte le rejoindra. Et je pourrais alors passer aux choses sérieuses, ça te va ma puce ? »

    Question idiote, que réponde à cela, quand on sait que l’on va se retrouver le cucul à l’air, pour une bonne fessée. Alors je réponds avec une émotion non feinte.

    Moi :

    « Bien sûrrr…que nonnnn, M’mannnn !! Ça n’me va pas…du tout !! Et puis j’suis trop grande…maintenant pour la fes…enfin tu vois ! »

    Maman reprend la balle au bond avec cette même ironie et me dit.

    Maman :

    « Oui, je vois très bien et tant pis pour toi, ma puce ! Maman va te démontrer que tu n’es pas si grande que cela, pour recevoir une bonne fessée déculottée méritée ! De plus, tu n’as pas le choix et comment veux-tu que je voie correctement rougir tes fesses, avec cette couverture bleue et ta culotte rose. D’autre part tu te comportes comme une gamine en n’assumant pas ton erreur et ose mentir à ta Maman, comme une fillette. De toute façon, tu sais très bien comme tes sœurs et ta cousine ou ton cousin qu’avec Tata ou moi, la fessée, c’est cul-nu. »

    Maman a stoppé son effeuillage, pour m’écouter et me répondre, ses doigts tenant le zip de la fermeture éclair qu’elle descends et glisse ses doigts sous la ceinture du jean, pour le baisser. Celui-ci étant assez moulant, elle doit bien faire tout le tour, pour le dégager de mon rebondi fessier. Je sens ses pouces passer sur le haut de mes fesses et je me mets à pleurnicher, ce qui la fait réagir toujours de la même façon.

    Maman :

    « Allons ma pucinette, gardes tes larmichettes pour après. Je n’en suis qu’au jean qui dois passer tes jolies rondeurs, mais comme il est assez moulant c’est un peu plus long, avec ta p’tite culotte ce sera plus facile de lui faire rejoindre celui-ci. Et ensuite te coucher sur mes genoux, pour la très bonne fessée que tu mérites. »

    Entendant cela, je pleure un peu plus et une fois mon jean en place je sens sur mes cuisses, les mains de Maman remonter pour aller chercher ma culotte. Dans un réflexe idiot, je baisse mes bras pour attraper ses poignets au moment aux ses doigts s’infiltrent sous l’élastique de ma culotte, en la suppliant de ne pas faire ça.

    Moi :

    « Nonnnn…nonnnn…M’mannnn. Passs…la culotte…j’t’en supplie…j’veux passs…Donnes-là moi par-dessus, pour une fois…s’te plaît…bouhouhou… »

    La réponse impérieuse ne se fait pas attendre.

    Maman :

    « Nolwen ! Lâche mes poignets tout de suite ou tu vas le regretter, ma p’tite fille ! »

    Contrite je lâche ses poignets, mais m’accroche à l’élastique de ma culotte, comme je l’ai déjà fait auparavant et qu’une fois j’ai fait craquer. Ce jour-là, je m’étais pris une trempe d’anthologie.

    Sauf que Maman trouve la parade, qui va coûter plus cher à mes fesses, en plus de la tannée prévue. Elle lâche l’élastique de ma culotte et dans la seconde suivante me jette littéralement sur son giron, déversant aussitôt une grêle de claques par-dessus ma culotte, vu la puissance de celles-ci je me mets à crier très fort et Ma chère mère tout en claquant mon popotin rajoute une touche d’ironie.

    Maman :

    « Alors, ma chérie, satisfaite ? Est-ce que ta culotte protège des p’tites fesses ? »

    Je balbutie entre les claquées.

    Moi :

    « Ouiiiiii…mais nonnnn, bien sûr que nonnnnn…Wawaouhhh…tu m’faittt mallll. Ouaaahhh…arrêtesssss…s’te plaît ! »

    Maman :

    « Non mais tu plaisantes, ma cocotte, je viens à peine de commencer et tu as encore ta culotte. Je te rappelle que je t’ai promis une très bonne fessée cuisante, alors prend ton mal en patience. Car je suis loin d’en avoir fini avec tes fesses. Ceci n’est qu’un acompte et comme tu le désirais, par-dessus ta p’tite culotte qui ne protège pas vraiment ton popotin, de la main de Maman chérie, n’est-ce pas ? »

    Moi :

    « Biennn… Waouhhhhh…sûrrrr….queee…nonnnn….Ouaaaahhhhh. Stopppp…ça fait trop malllllll…Waouhhhhh…Aaaahhhh. ! »

    Maman :

    « Eh bien, ma chérie, tu chantes juste. La suite devrait donc, te faire vocaliser comme tes p’tites sœurs. »

    Comprenant que je n’aurais pas gain de cause, je me tais n’émettant que des plaintes de douleur, car il me semble qu’elle claque beaucoup plus fort, que lorsque mes fesses sont à nu. Sûrement une fausse impression. J’ai mal et sous ma culotte je sens la chaleur grimper à toute vitesse.

    Puis d’un seul coup, plus de claquées, mais je sens ses doigts s’insérer sous l’élastique de ma culotte, pour la descendre d’un coup sec rejoindre mon jean qui a glissé jusqu’aux mollets, mettant bien agitée sous l’effet de cette entame tonitruante et ce malgré ma p’tite culotte. Je sens le courant d’air frais sur mon joufflu, déjà bien chaud. Cette fois j’ai le cucul à l’air et Maman va poursuivre son œuvre, ce qu’elle me confirme.

    Maman :

    « Eh bien, voilà ma douce, nous en sommes à la bonne étape pour la fessée promise. Sauf que tes p’tites fesses au lieu d’être immaculées, si tu m’avais laissé te déculotter sans broncher, il y a 3 minutes sont d’un rose bonbon tout à fait ravissant. Il ne me reste plus qu’à les faire rougir comme elles méritent, pour ta colle et ton mensonge. Alors accroches-toi, ma puce, car je ne vais pas faire semblant. »

    Dans un dernier sursaut, je hurle.

    Moi :

    « Nonnnnn, nonnnnn, M’mannnn ! Epargnes-moi, j’t’en sup… »

    Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, qui se termine dans un cri énorme, sous la première claquée à nu, au milieu de mon popotin. Suivit par d’autres tout aussi fortes, la main de Maman arrosant copieusement chaque hémisphère. Je suis sous une pluie battante de claques, plus fortes les unes que les autres. Je vis un enfer, j’en ai pourtant reçu plus d’une sévère, mais celle-ci marque mon entrée au collège. Maman lésinant moins avec mon fessier ou celui de ma cousine, que ceux de mes p’tites sœurs ou du cousin.

    Bien sûr, ma chère mère fait quelques pauses pour reposer son bras, pas pour épargner mes fesses, afin de mieux repartir à l’assaut de mon cuir qu’elle souhaite marquer de son empreinte. Moi je ne suis que plaintes et cris plus aigus, lorsque sa main touche le haut de mes cuisses. Je vais ressortir de ses genoux avec un fessier écarlate et cramoisi par endroit. Le final qu’elle me colle après une ultime pause me fait hurler de douleur et m’affaler sur ses cuisses, telle une poupée de chiffon. Je viens de recevoir ma première fessée magistrale de collégienne pour un problème de colle. Et quelle fessée !!!

    A suivre…

  • Ma dernière fessée maternelle à 15 ans.

    Par Jean-Philippe :

    Depuis mes 8 ans en 1961, je passe mes week-ends ainsi que mes vacances scolaires en Normandie dans la maison de campagne de mes grands-parents.

    Juste en face de celle-ci, un couple et sa fille Anne âgée de 7 ans passent leurs vacances. 

    Anne et moi jouons ensemble depuis cette époque.

    Nos mamans respectives nous emmènent régulièrement à la piscine.

    Anne vient chez nous passer de bons moments et j’en fait tout autant en allant chez ses parents.

    Nous sommes en juin 1968, j’ai 15 ans et Anne 14 ans.

    Maman l’a invitée à passer la journée entière chez nous. Il fait un temps splendide et nous installons la table de tennis de table dans le jardin. 

    Nous jouons déjà depuis plus d’une heure, lorsque Maman m’appelle pour installer le couvert dans la maison car il est midi. Je réponds à Maman.

    Moi :

    « Attends M’man, je termine la partie, je mène 12 à 8 ! »

    Maman :

    « Non Doudou, tu viens immédiatement et tu ne discutés pas ! »

    Et là, je ne sais pas pourquoi, mais je lui lance une insolence. Que ma chère mère n’apprécie pas et va me le la faire regretter amèrement.

    Moi :

    « Non ! Tu me fais chier, je termine la partie ! »

    Je vois ma mère fondre sur moi. Je pose ma raquette sur la table et cours vers le fond du jardin.

    Malheureusement, il ne faut pas plus de 10 secondes à maman pour me rattraper. Maman a 36 ans et court très vite, étant ancienne championne d’athlétisme et prof de gym dans un collège de filles.

    Maman me saisit par le bras, je suis en nage. Elle me ramène vers la table de ‘‘tennis de table’’ où Anne est restée. Je m’attends à recevoir une paire de gifles devant mon amie d’enfance et un sermon. Mais je ne m’attends absolument pas à recevoir une fessée déculottée. Mais ma chère mère très finaude, me rappelle avec ironie ma fessée du mois précédent pour mon ‘‘doigt d’honneur’’.

    Maman :

    « Alors, mon trésor, comme le mois dernier tu pensais pouvoir échapper à ta chère Maman chérie. Sauf qu’elle court plus vite que toi, mon lapin ! Alors maintenant, je vais de nouveau montrer à Anne que tu possèdes de jolies p’tites fesses parfaites, pour une bonne fessée ! »

    Ce qui me fait réagir aussitôt.

    Moi :

    « Nonnn !!! Tu ne vas pas faire ça, M’man ??? Pas d’vant Nanou !!! J’suis plus un petit garçon ??? »

    Maman :

    « C’est bizarre, Doudou, tu m’as dit la même chose le mois dernier quand je t’ai déculotté sous les yeux d’Emeline ta p’tite amie et de tes camarades de lycée, pour ton geste obscène envers moi, pour te donner la sévère fessée que tu méritais devant tout le monde, tu t’en souviens ? »

    Moi :

    « Oui, M’man, bien sûr que j’m’en souviens !!! Comment oublier une telle raclée !!! »

    S’asseyant sur la chaise de jardin à côté de la table et sans répondre, Maman glisse ses doigts sous l’élastique de mon short pour le baisser aux genoux, avant de faire suivre le même chemin à mon slip blanc ‘‘Petit Bateau’’. Je ne peux rien faire face à la détermination de ma génitrice qui sait me corriger sévèrement lorsque je franchis la ligne rouge et là, je l’ai encore une fois dépassée. Je suis cul nu devant Anne qui me regarde hébétée.

    Puis, elle me fait basculer sur son giron et claque mon derrière avec une telle intensité que 2 claques suffisent à me faire crier. Je ne suis pas au bout de mes peines car la fessée va durer un temps inimaginable.

    Maman me fait payer très cher mon insolence. J’hurle comme jamais je n’ai hurlé, je pleure à gros sanglots.

    Enfin elle me remet sur pieds. Je ne distingue plus le visage d’Anne, les larmes emplissent mes yeux. Je danse la gigue tellement mes fesses me brûlent. Maman me fait alors la morale devant mon amie.

    Maman :

    « Doudou, j’espère que cette nouvelle sévère fessée va te faire comprendre que je suis ta mère à qui tu dois le respect et non tes copains ou ta p’tite copine ! »

    C’est à peine si j’écoute ses paroles, trop occupé à déverser un torrent de larmes et frotter mes fesses très cuites ! Celle-ci me reculotte tel un bébé car je n’en ai pas la force puis m’envoie me laver la figure.

    Maman :

    « Bien ! Va donc te laver le visage car tu n’es pas beau à voir et je souhaite sincèrement que tu retiennes une bonne fois pour toute cette leçon ! Sinon, dis-toi que je n’hésiterais pas à recommencer jusqu’à ce que tu changes d’attitude ! C’est compris ? »

    Penaud et incapable de répondre, je m’exécute puis reviens mettre le couvert dans la maison avec l’aide d’Anne que je n’ose regarder tellement j’ai honte d’avoir été puni comme un petit garçon. Anne, âgée de 14 à cette époque est en classe de 1ère C. Bien plus mature que moi, les fessées là concernant n’étant qu’une histoire ancienne. De mémoire, je crois que sa dernière fessée maternelle date de ses 11 ans, sous mes yeux.

    Par contre le garnement Jean-Philippe, collectionne les fessées depuis ses 9 ans donc un certain nombre reçu sous ses yeux, par Maman. Deux d’entre elles me furent même administrées par sa mère Liliane à l’âge de 9 ans ½ et 11 ans. Après le dressage de la table, Anne, me fait un bisou sur la joue. Petit geste de tendresse et de soutien qui me fait plaisir !

    Dés lors je m’achetais un code de bonne conduite avec Maman et ce fût ma dernière fessée maternelle, n’écopant que de quelques rappels et menaces verbales de ma chère mère, quand j’approchais la limite. Sincèrement je suis reconnaissant envers ma Maman de m’avoir élevé de cette manière.

    Fin

  • Fessée à 11 ans par la mère d’Anne, plus une de Maman.

    Par Jean-Philippe :

    Figurez-vous qu’à l’âge de 11 ans, j’ai été fessé pour la seconde fois par la Maman d’Anne pour avoir menti en accusant mon amie d’enfance qui en avait 10 et je n’en suis pas fier encore aujourd’hui en y repensant.  

    En cet après-midi de 1964 où nous jouons dans le jardin de la maison des parents d’Anne.

    Liliane, sa Maman nous appelle car elle veut que nous allions chercher de la farine à l’épicerie du village pour nous faire des crêpes pour le goûter.

    Elle donne le porte-monnaie à sa fille et lui dit de faire attention lorsque la patronne lui rend la monnaie. 

    Nous prenons nos vélos pour aller plus vite. Intrépide, je propose à Anne de passer par la boulangerie. 

    Moi :

    « Dis, Nanou, si on allait acheter des bonbons en même temps, non ? »

    Elle hésite un peu car sa maman n’a pas autorisé cet écart et elle craint d’être punie.

    Anne :

    « Bah, j’suis pas trop sûr, Doudou ! Car Maman ne m’a pas donné la permission pour ça et j’voudrais pas être punie, tu vois ? »

    Moi :

    « Ne t’inquiète pas Nanou, je dirai que c’est moi qui en ai eu l’idée ! »

    Nous rentrons à la maison, avec la farine et nos bonbons dans les poches, sa maman nous remercie puis vérifie la monnaie.

    Liliane :

    « Dis-moi, Nanou, il manque de l’argent. Je t’ai pourtant bien demandé de faire attention au rendu de monnaie, non ? »

    Nanou se met à rougir et répond avec fébrilité, car je ne bouge pas un sourcil malgré la promesse que j’ai fait de me dénoncer. Alors perturbée par l’interrogation de sa mère, elle lâche le morceau.

    Nanou :

    « Bah…euh…M’man !!! J’te promets, j’ai fait attention au rendu de l’épicière ! Mais après c’est, Doudou, qui m’a demandé si on pouvait passer à la boulangerie !!! Moi je n’étais pas très sûr, sans avoir ta permission ! Mais il a insisté, alors j’ai dit oui ! Celui-ci me promettant de se dénoncer pour l’idée des bonbons !! Et voici, les miens, M’man ! »

    Elle dépose les bondons qu’elle a dans sa poche de short et se met à pleurer, sa mère me regardant s’adresse à sa fille.

    Liliane :

    « C’est bien, Nanou, tu es franche et honnête ! Je te reconnais bien là, ma fille, néanmoins je devrais te punir pour ne pas avoir su dire « non » à Doudou qui est plus intrépide que toi ! Mais mon p’tit doigt me dit que c’est la vérité ! »

    Sa Maman se tourne alors vers moi avec un regard insistant, comprenant que sa fille n’aurait pas osé acheter des bonbons sans son autorisation et me dit.

    Liliane :

    « Dis-moi, Doudou, c’est bien la vérité ce que m’a dit Nanou ? Vide donc tes poches, de suite !! »

    Là, je suis dans la mélasse face à cette femme au regard perçant comme celui de Maman, quand elle veut me tirer les vers du nez. Alors je m’exécute et pose mes bonbons sur la table, néanmoins je reste dans le déni du garnement immature que je suis, oubliant sa promesse et accusant effrontément son amie.

    Moi :

    « Ah non, Liliane !!! C’est Nanou qui a voulu acheter des bonbons à la boulangerie, pas moi !!! »

    Liliane :

    « Doudou, je suis plus encline à croire que c’est toi qui en as eu l’idée et ce n’est pas gentil d’accuser ton amie qui s’est laissée entraînée par le garnement que tu es. Alors cesse de nier, tu sais que comme ta Maman, je déteste les mensonges ! Donc, dis-moi la vérité que je pense avoir deviné et demandes pardon à Nanou tout de suite, pour ne pas avoir respecté ta parole ! »

    Cette femme est aussi diabolique que Maman pour obtenir des aveux. Néanmoins je persiste dans ma démarche commettant une bourde idiote qui disculpe Nanou et va sceller ma destinée, enfin surtout celle de mes fesses et réponds.

    Moi :

    « C’est Nanou qui a voulu aller à la boulangerie, pas moi !!! Elle raconte n’importe quoi comme d’habitude ! Et pis, elle n’était pas obligée de m’croire ! »

    D’un coup je me rend compte que je viens de me trahir, avouant mon mensonge et ma trahison envers Nanou. S’en est trop pour Liliane, qui fond sur moi. Je n’ai pas le temps de m’échapper. Et là, sa maman baisse mon short et mon slip ‘‘Petit Bateau’’ ensemble, ceux-ci terminant leurs courses aux chevilles.

    Je n’en reviens pas et tétanisé, je mets mon pouce à ma bouche comme je le fais souvent, cela me rassure.

    Mais Liliane très déterminée à me corriger, pour mes deux fautes (mensonge et forfaiture), elle m’étale telle une crêpe sur son giron et ajoute.

    Liliane :

    « Alors, non content de me mentir, tu avoues cette trahison envers Nanou, à laquelle tu as dit que tu te dénoncerais !!! Eh bien tu vas voir ou plutôt sentir ce qu’il en coûte avec moi et en plus je vais en informer ta Maman !!! »

    Là, c’est le ciel qui me tombe sur la tête avant la magistrale fessée de Liliane ! Sous laquelle je hurle et pleure durant 10 bonnes minutes. La fessée est sévère, mais je la mérite ! La main de celle-ci est aussi redoutable que celle de Maman, qui va me tomber dessus 3 heures plus tard ! Sa maman me relève enfin et me fait la morale devant Anne, je ne suis pas fier du tout car je me rends compte que j’ai été injuste envers mon amie. Cela ne se reproduira plus.

    Et comme je m’en doutais, Maman attends de pied ferme mon retour, à la maison ! Celle-ci ne perd pas de temps, à peine franchi le seuil, elle m’attrape par l’oreille et m’entraîne au salon vers le canapé, elle s’assied et me déculotte en l’espace de 5 secondes, avant de me coucher sur son giron ! Puis reprend les mêmes griefs que Liliane.

    Maman :

    « Alors, comme ça, tu mens éhontément à mon amie et tu trahi Nanou !! Liliane à bien fait de te corriger sévèrement, maintenant c’est mon tour ! »

    Et là, je reçois une seconde fessée magistrale encore plus carabinée, sous les yeux de mes grands-parents présents et ma chipie de p’tite sœur (9 ans) qui me traite de « bébé cadum » à chaque fois que je reçois une fessée devant elle, ce qui lui coûteras cher un an plus tard, devant ses copines.

    Evidemment, à cause de mon penchant de vilain garnement, j’en ai reçu bien d’autres devant mon amie, Nanou ! De la main de maman, jusqu’à mes 15 ans ! Et de la main de Liliane, c’était la deuxième ! Mais quelle fessée, waouh !!! Je m’en souviens encore après plus de 58 ans !!!

    Fin

  • Deux fessées pour un redoublement.

    Par Jean-Philippe :

    Je suis entré en 6ème à 10 ans 1/2 (1963) dans un lycée d’enseignement général de bon niveau, choisi par maman qui était enseignante (prof d’éducation physique) dans un collège de filles.

    Pas assez mature, je commence très mal mon 1er trimestre. La prof principale de maths demande donc à rencontrer Maman pour l’informer de cette insuffisance de travail.

    Mme Chabut :

    « Bonjour Mme Lascombes, je me suis permise de vous convoquer pour vous faire part de l’insuffisance de travail de Jean-Philippe, à mes cours de mathématiques, alors qu’il obtient de bons résultats en français ou dans les autres matières ! Ce qui me chagrine, dans la mesure où je m’efforce de l’aider davantage que ses camarades, mais je pense qu’il n’est pas très motivé pour cette matière. »

    Maman très calme, va alors me surprendre.

    Maman :

    « Mme Chabut, je vous remercie de m’avoir prévenue pour ce manque de motivation de mon fils qui ne me surprend pas ! Alors je vous autorise à lui administrer une fessée déculottée devant ses camarades si vous constatez à nouveau, un manque d’efforts de sa part ! »

    Mme Chabut :

    « Très bien, Mme Lascombes, je le ferai si nécessaire et je vous remercie de vous être déplacé. Mais je pense que cette mise au point avec vous était essentielle pour son avenir. »

    La Prof principale ne tarde pas à utiliser cette autorisation de me corriger devant toute la classe, 2/3 semaines après cet entretien, lors de l’un de ses cours. Ce jour-là, je suis pour le moins inattentif et ne montre pas d’efforts pour les petits exercices simples qu’elle nous donne à faire, en rapport au cours.

    Tant et si bien, que 5/10 minutes avant la fin de celui-ci, elle me convoque sur l’estrade.

    Mme Chabut :

    « Jean-Philippe !!! Viens donc me voir, s’il te plaît. »

    Là je pense aussitôt que ça sent le roussi pour moi, conscient qu’elle n’est pas satisfaite de mon travail du jour ! Néanmoins j’obéis, alors qu’elle déplace une chaise à côté de son bureau. Là dans ma p’tite tête, ça ne fait qu’un tour, elle va mettre à exécution l’autorisation maternelle et j’ai franchement les chocottes. Une fessée, plus la honte indescriptible d’être corrigé devant mes camarades. J’en frémis !!!

    Les choses ne vont pas traîner ! Arrivé devant elle, assise sur la chaise, elle me met sous le nez ma copie d’exercices dont beaucoup sont entourés de rouge (couleur prémonitoire) et me dit.

    Mme Chabut :

    « Jean-Philippe ! Encore une fois, tu n’as fait aucun effort pour ces exercices simples relatifs au cours que je viens de donner ! Plus de la moitié sont faux, preuve que tu n’as été très attentif durant ses deux heures ! Par conséquent, je vais donc te donner une bonne fessée déculottée devant tes camarades et rougir tes fesses à l’image de ta copie. Comme ta Maman m’y a autorisé ! »

    Bien évidemment, je proteste ! Alors que celle-ci attaque les boutons de mon short (tenue classique pour les écoliers et collégiens dans les années 60).

    Moi :

    « Nonnn ! Nonnn ! Pas la fessée d’vant la classe !!! J’vous en supplie ! J’ai honte !! S’il vous plaît, pas ça !!! »

    Mme Chabut :

    « Il fallait réfléchir avant, mon garçon et bien écouter mon cours ! Alors tant pis pour toi, cela t’aidera sans doute à fournir les efforts nécessaires, dans ma matière ! Allez ne perdons pas de temps ! »

    Tout en me répondant, elle poursuit son effeuillage et je suis maintenant à demi-nu, short et slip aux chevilles ! Me faisant passer sur son côté, elle me bascule sur ses cuisses et m’administre une fessée tonitruante et cuisante à souhait ! Bon dieu, elle sait y faire comme Maman.

    Le second trimestre n’est pas plus brillant. Je connais par cœur mes tables de multiplication mais je déteste faire les problèmes, ne réfléchissant pas suffisamment, j’abandonne l’exercice ce qui me vaut quelques zéros pointés à faire signer par maman et bien sûr à chaque fois une fessée déculottée que maman m’administre devant ma sœur cadette, qui rigole !

    Arrive le mois de juin et ma prof de maths demande mon redoublement pour manque de travail et immaturité. C’est vrai que je suis un vrai bébé. Je suce encore mon pouce. Ma chipie de p’tite sœur m’appelle ‘‘bébé Cadum’’ devant ses copines qui viennent à la maison.

    Lorsque maman reçoit le bulletin trimestriel avec la mention ‘‘redoublement’’, elle ne dit rien sur le coup mais le lendemain, elle vient me chercher au lycée chose qu’elle ne fait jamais. 

    Je viens de sortir du cours de maths de Mme Chabut. Maman m’attend de pied ferme et vient au-devant de moi ! Sans dire un mot, elle me prend par la main et m’amène vers un banc juste en face de la sortie afin que tout le monde puisse nous voir.

    Je comprends immédiatement que je vais encore y passer devant tout le monde (fréquent avec Maman) et du monde, il y en a : les élèves, les professeurs, les parents venant chercher leurs enfants en voiture.

    Maman s’assied et commence à baisser mon bermuda. Je tente de l’en empêcher en mettant mes mains. Peine perdue, je reçois une claque sur mes mains. Alors, je me mets à taper des pieds et à gigoter dans tous les sens, rien n’y fait. Mon bermuda est vite descendu à mes chevilles puis maman s’attaque à mon slip ‘‘Petit Bateau’’ qu’elle baisse avec dextérité, pour lui faire rejoindre le bermuda. Je me mets à pleurer et met mon pouce à ma bouche, instinctivement pour me rassurer.

    En un rien de temps, Maman me couche sur son giron et claque mon derrière avec une telle énergie que je me mets à hurler ameutant tous les élèves. J’entends même l’un de mes propres camarades dire.

    Le camarade :

    « La maman de Jean-Philippe lui donne une fessée parce qu’il va redoubler la 6ème à la rentrée prochaine ! »

    Je n’entends plus rien après, sauf le bruit des claques de maman sur mes fesses. Soudain, j’ai la respiration coupée et je pars dans d’énormes sanglots. Maman me relève et me fait la morale devant tout le monde, les fesses à l’air et le petit oiseau aussi. Puis elle me reculotte et me prend par la main, pour rentrer à la maison.

    Arrivée là, je reçois une seconde fessée tout aussi carabinée sous les yeux de ma petite sœur âgée de 9 ans pour l’exemple, qui me traite de ‘‘bébé Cadum’’ à nouveau car après la fessée, je prends mon pouce pour me consoler. Celle-ci va regretter sa méchanceté un an plus tard sous mes yeux et ceux de ses copines.

    Comme quoi, un ‘‘redoublement’’ pour manque de travail, peut coûter très cher à vos fesses

    Fin

  • Deux fessées magistrales pour avoir séché les épreuves du BEPC.

    Par Jean-Philippe :

    J’étais en classe de 3ème, au lycée Michelet à Vanves, en région parisienne. Le BEPC approchait à grands pas, j’avais 14 ans et nous étions fin juin 1967.

    Je me présente aux premières épreuves du matin. Mais je décide de ne pas y aller l’après-midi prétextant que cet examen ne sert pas à grand-chose puisque je passe en Seconde générale en septembre. 

    Je profite de cette magnifique journée pour me rendre au jardin du Luxembourg et louer un petit bateau à voile pour le faire voguer sur le bassin. Le lendemain, je me rends aux épreuves matinales et sèche volontairement celles de l’après-midi.

    Après ces deux jours d’examen, Maman me demande si je suis confiant dans le travail que j’ai fourni durant ceux-ci. Je lui réponds de façon affirmative. 

    Maman :

    « Alors, Doudou, ça s’est bien passé mon chéri, pas trop difficile ? »

    Moi :

    « Oui, oui, M’man ! Sans problème, je suis confiant et ce n’était pas très difficile ! »

    Maman :

    « C’est parfait, mon trésor, nous pourrons donc fêter ton deuxième diplôme scolaire, dans quelques jours !!! »

    3 jours plus tard, maman m’interpelle en rentrant du collège où elle exerce le métier de prof d’éducation physique dans celui des filles, m’interrogeant sans ambages et je vais sceller mon sort, m’enfonçant tout seul avec mes dénégations,

    Maman :

    « Dis-moi, Doudou, j’ai reçu un appel téléphonique du proviseur m’informant que tu ne t’es pas rendu aux épreuves les deux après-midis, qu’en est-il exactement ? »

    Moi :

    « Si Maman ! J’y suis allé. Le proviseur doit se tromper d’élève, on est tellement nombreux à passer le brevet ! »

    Ma mère me regarde droit dans les yeux et dit.

    Maman :

    « Tu en es sûr, tu ne me racontes pas une histoire à dormir debout ? »

    Moi :

    « Non Maman ! »

    Maman :

    « Très bien, attendons les résultats. »

    Me voilà rassuré pour quelque temps.

    Dix jours plus tard, les résultats du BEPC tombent. Ils sont affichés à l’entrée du lycée. Maman m’accompagne évidemment. Arrivés près du lycée, j’aperçois mes camarades qui sautent de joie, embrassent leurs parents, fiers d’avoir obtenu le sésame.

    Nous nous approchons du tableau d’affichage et en face de mon nom est précisé la mention ‘Refusé pour absence’. Je me tourne vers Maman qui affiche un visage sombre. Elle me prend par la main et se dirige vers le banc le plus proche, en ajoutant assez fort une de ses phrases vexantes comme si j’étais encore un garçonnet de 6/7 ans.

    Maman :

    « Doudou, viens donc un peu par ici !!! Que Maman t’explique ce qu’elle pense du motif de ce ‘‘refus à l’examen du Brevet’’ !!! Ne t’inquiète pas mon trésor tu vas vite comprendre et comme je te l’ai dit, il y a une dizaine de jours nous allons donc fêter ce Brevet, mais de manière différente !!! »

    J’ai bien compris ses intentions, mais tétanisé, je ne me défends même pas. A quoi cela servirait, j’ai tous les torts. J’ai menti, j’ai pris le proviseur pour un imbécile.

    Maman s’assied et prend tout son temps pour me déculotter en déboutonnant mon jean et le faire descendre lentement à mes chevilles, avant de faire suivre le même chemin à mon slip blanc ‘‘Petit Bateau’’ qu’elle enroule avec dextérité, pour bien me faire honte devant tout le monde. Il y a mes camarades, leurs frères et sœurs, les parents et quelques professeurs venus féliciter leurs élèves. 

    Je sais que tout le monde nous regarde. Maman me bascule sur ses genoux. Et là, commence une série de claques sur mon derrière comme je n’ai jamais reçu depuis très longtemps. J’imagine la colère que ma maman peut ressentir à cet instant en me fessant si sévèrement. Je me mets à hurler comme un putois. Un silence s’est installé autour de nous excepter mes cris et mes pleurs. Maman déverse sur mes fesses toute son énergie, sa rage.

    Je ne sens plus mon derrière ou plutôt si. Il doit ressembler à un brasier. Je ne sais combien de temps dure la fessée mais pour moi, c’est l’éternité.

    Maman me relève enfin. Je tiens à peine sur mes pieds et elle me sermonne devant tout le monde, avec force détail sur ce que j’ai osé faire.

    Maman :

    « Alors non content de mentir à ta mère sur les deux jours d’examen, tu te permets d’insinuer que le ‘‘Proviseur’’ sait tromper d’élève, quand j’apprends de sa bouche que tu as séché une partie des épreuves et que tu persiste dans le déni !!! Donc cette fessée, c’était pour réparer ton accusation vis-à vis de lui !!! Mais dis-toi, que je n’en pas fini avec toi et qu’une autre correction t’attends à la maison sous les yeux de ta p’tite sœur pour l’exemple et je te garantis que ton été va être studieux. »

    Je n’entends pas la moitié de ses propos dans mon brouillard d’après fessée, trop occupé à pleurer à chaudes larmes et sautiller un pied sur l’autre oubliant même mon intimité. Maman remonte mon slip et mon jean puis se lève et prenant ma main, nous rentrons à la maison. Je n’ose lever la tête pour ne pas croiser le regard de mes camarades.

    Arrivés à destination, ma chère mère ne perd pas de temps appelant immédiatement ma p’tite sœur de 12 ans à nous rejoindre ! Je reçois alors une seconde fessée déculottée, encore plus carabinée et plus longue que la première, sous les yeux de ma frangine goguenard comme à son habitude, incitant même Maman à claquer plus fort, pendant que celle-ci lui explique le pourquoi de cette correction, pour son grand-frère.

    Durant tout l’été, j’ai dû travailler tous les matins afin de repasser le brevet à la session de rattrapage en Septembre, le ‘‘Proviseur’’ ayant bien voulu faire un geste de reconnaissance envers Maman en tant qu’enseignante dans un lycée de filles. J’ai obtenu le brevet avec mention ‘‘très bien’’.

    Fin