Nolwen raconte : Mes années collège (10)

Puis sans attendre, elle les dirige vers le devant de mon jean, ses doigts s’attaquant au bouton et la fermeture éclair. Le tout en commentant son action avec ironie.

Maman :

« Bon ça suffit, on ne va pas y passer la soirée. Mains sur la tête, que je fasse glisser ce jean, vers tes genoux, ensuite ta p’tite culotte le rejoindra. Et je pourrais alors passer aux choses sérieuses, ça te va ma puce ? »

Question idiote, que réponde à cela, quand on sait que l’on va se retrouver le cucul à l’air, pour une bonne fessée. Alors je réponds avec une émotion non feinte.

Moi :

« Bien sûrrr…que nonnnn, M’mannnn !! Ça n’me va pas…du tout !! Et puis j’suis trop grande…maintenant pour la fes…enfin tu vois ! »

Maman reprend la balle au bond avec cette même ironie et me dit.

Maman :

« Oui, je vois très bien et tant pis pour toi, ma puce ! Maman va te démontrer que tu n’es pas si grande que cela, pour recevoir une bonne fessée déculottée méritée ! De plus, tu n’as pas le choix et comment veux-tu que je voie correctement rougir tes fesses, avec cette couverture bleue et ta culotte rose. D’autre part tu te comportes comme une gamine en n’assumant pas ton erreur et ose mentir à ta Maman, comme une fillette. De toute façon, tu sais très bien comme tes sœurs et ta cousine ou ton cousin qu’avec Tata ou moi, la fessée, c’est cul-nu. »

Maman a stoppé son effeuillage, pour m’écouter et me répondre, ses doigts tenant le zip de la fermeture éclair qu’elle descends et glisse ses doigts sous la ceinture du jean, pour le baisser. Celui-ci étant assez moulant, elle doit bien faire tout le tour, pour le dégager de mon rebondi fessier. Je sens ses pouces passer sur le haut de mes fesses et je me mets à pleurnicher, ce qui la fait réagir toujours de la même façon.

Maman :

« Allons ma pucinette, gardes tes larmichettes pour après. Je n’en suis qu’au jean qui dois passer tes jolies rondeurs, mais comme il est assez moulant c’est un peu plus long, avec ta p’tite culotte ce sera plus facile de lui faire rejoindre celui-ci. Et ensuite te coucher sur mes genoux, pour la très bonne fessée que tu mérites. »

Entendant cela, je pleure un peu plus et une fois mon jean en place je sens sur mes cuisses, les mains de Maman remonter pour aller chercher ma culotte. Dans un réflexe idiot, je baisse mes bras pour attraper ses poignets au moment aux ses doigts s’infiltrent sous l’élastique de ma culotte, en la suppliant de ne pas faire ça.

Moi :

« Nonnnn…nonnnn…M’mannnn. Passs…la culotte…j’t’en supplie…j’veux passs…Donnes-là moi par-dessus, pour une fois…s’te plaît…bouhouhou… »

La réponse impérieuse ne se fait pas attendre.

Maman :

« Nolwen ! Lâche mes poignets tout de suite ou tu vas le regretter, ma p’tite fille ! »

Contrite je lâche ses poignets, mais m’accroche à l’élastique de ma culotte, comme je l’ai déjà fait auparavant et qu’une fois j’ai fait craquer. Ce jour-là, je m’étais pris une trempe d’anthologie.

Sauf que Maman trouve la parade, qui va coûter plus cher à mes fesses, en plus de la tannée prévue. Elle lâche l’élastique de ma culotte et dans la seconde suivante me jette littéralement sur son giron, déversant aussitôt une grêle de claques par-dessus ma culotte, vu la puissance de celles-ci je me mets à crier très fort et Ma chère mère tout en claquant mon popotin rajoute une touche d’ironie.

Maman :

« Alors, ma chérie, satisfaite ? Est-ce que ta culotte protège des p’tites fesses ? »

Je balbutie entre les claquées.

Moi :

« Ouiiiiii…mais nonnnn, bien sûr que nonnnnn…Wawaouhhh…tu m’faittt mallll. Ouaaahhh…arrêtesssss…s’te plaît ! »

Maman :

« Non mais tu plaisantes, ma cocotte, je viens à peine de commencer et tu as encore ta culotte. Je te rappelle que je t’ai promis une très bonne fessée cuisante, alors prend ton mal en patience. Car je suis loin d’en avoir fini avec tes fesses. Ceci n’est qu’un acompte et comme tu le désirais, par-dessus ta p’tite culotte qui ne protège pas vraiment ton popotin, de la main de Maman chérie, n’est-ce pas ? »

Moi :

« Biennn… Waouhhhhh…sûrrrr….queee…nonnnn….Ouaaaahhhhh. Stopppp…ça fait trop malllllll…Waouhhhhh…Aaaahhhh. ! »

Maman :

« Eh bien, ma chérie, tu chantes juste. La suite devrait donc, te faire vocaliser comme tes p’tites sœurs. »

Comprenant que je n’aurais pas gain de cause, je me tais n’émettant que des plaintes de douleur, car il me semble qu’elle claque beaucoup plus fort, que lorsque mes fesses sont à nu. Sûrement une fausse impression. J’ai mal et sous ma culotte je sens la chaleur grimper à toute vitesse.

Puis d’un seul coup, plus de claquées, mais je sens ses doigts s’insérer sous l’élastique de ma culotte, pour la descendre d’un coup sec rejoindre mon jean qui a glissé jusqu’aux mollets, mettant bien agitée sous l’effet de cette entame tonitruante et ce malgré ma p’tite culotte. Je sens le courant d’air frais sur mon joufflu, déjà bien chaud. Cette fois j’ai le cucul à l’air et Maman va poursuivre son œuvre, ce qu’elle me confirme.

Maman :

« Eh bien, voilà ma douce, nous en sommes à la bonne étape pour la fessée promise. Sauf que tes p’tites fesses au lieu d’être immaculées, si tu m’avais laissé te déculotter sans broncher, il y a 3 minutes sont d’un rose bonbon tout à fait ravissant. Il ne me reste plus qu’à les faire rougir comme elles méritent, pour ta colle et ton mensonge. Alors accroches-toi, ma puce, car je ne vais pas faire semblant. »

Dans un dernier sursaut, je hurle.

Moi :

« Nonnnnn, nonnnnn, M’mannnn ! Epargnes-moi, j’t’en sup… »

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, qui se termine dans un cri énorme, sous la première claquée à nu, au milieu de mon popotin. Suivit par d’autres tout aussi fortes, la main de Maman arrosant copieusement chaque hémisphère. Je suis sous une pluie battante de claques, plus fortes les unes que les autres. Je vis un enfer, j’en ai pourtant reçu plus d’une sévère, mais celle-ci marque mon entrée au collège. Maman lésinant moins avec mon fessier ou celui de ma cousine, que ceux de mes p’tites sœurs ou du cousin.

Bien sûr, ma chère mère fait quelques pauses pour reposer son bras, pas pour épargner mes fesses, afin de mieux repartir à l’assaut de mon cuir qu’elle souhaite marquer de son empreinte. Moi je ne suis que plaintes et cris plus aigus, lorsque sa main touche le haut de mes cuisses. Je vais ressortir de ses genoux avec un fessier écarlate et cramoisi par endroit. Le final qu’elle me colle après une ultime pause me fait hurler de douleur et m’affaler sur ses cuisses, telle une poupée de chiffon. Je viens de recevoir ma première fessée magistrale de collégienne pour un problème de colle. Et quelle fessée !!!

A suivre…

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