Nolwen raconte : Mes années collège (13)

Si j’ai pris une grosse tannée de Maman pour mes erreurs, mes frangines viennent de ramasser une bonne fessée, pour s’être moquées de moi. Ce que Magalie et moi, n’avons pas fait vis-à-vis d’elles, compatissant plutôt à leurs sorts. Car ma chère mère, n’a pas fait semblant avec leurs p’tites fesses de gamines. Quelque part je suis contente quelles en ait reçu une pour leurs moqueries, même si cela me chagrine un peu pour leurs p’tits cucul menus, que Maman n’a pas ménagé. Celle-ci s’adresse aux deux sauterelles, toujours avec cette même ironie, la caractérisant.

Maman :

« Bien, mesdemoiselles, maintenant vous aller au coin en l’état, mains sur la tête. Attendre l’arrivée de Papa et de votre Tante, avec Kevin. Je suis certaine que celle-ci ne manquera pas de commenter votre position. Tant qu’à vous les grandes, aller donc dans la chambre, comme ça vous pourrez discuter tranquillement et toi, Nolwen, reposes toi un peu avant l’arrivée de ton Papounet chéri. »

Nous regagnons ma chambre, donc je laisse la porte entre-ouverte. Je m’allonge sur mon lit après avoir baissé mon bas de pyjama et ma culotte, pour sentir l’air frais sur mon popotin en feu. Mag regarde l’état de mes fesses et me dit.

Magalie :

« Eh ben, ma pauvre, Tata ne t’a pas raté ! Tes fesses sont rouge carmin. Tu vois, je te l’avais bien dit ce matin, que tu avais fait une connerie, en ne lui avouant pas ta colle dès vendredi soir. C’est sûr, elle t’aurait filé une bonne fessée, mais pas une telle tannée. En plus elle va tout dire à Tonton et sincèrement je ne sais pas qu’elle réaction, il aura, quand il va apprendre que tu as menti à Tata, pendant tout le week-end. »

Moi :

« Je sais Mag, c’est ce qui me fait très peur. Pas à cause de ma colle, mais pour le fait que j’ai menti à Maman et l’ai également berné, avec mon comportement de p’tite fille modèle. Alors avec lui, si les fessées sont plus courtes, elles sont beaucoup plus denses. Et j’ai franchement la trouille. »

Magalie :

« Ouais je sais, Nono, comme moi avec Papa et j’comprends que t’ai la trouille et je te plains vraiment à l’avance. S’il décide de t’en coller une autre, immédiatement ! »

Moi :

« C’est sûr, j’vais morfler grave et j’aurais un peu de mal à m’asseoir demain au collège. Mais peut-être qu’il va me réserver celle-ci au moment d’me coucher et tu seras là, pour me consoler. L’autre consolation, sera l’absence de mes frangines. Alors je flippe, tu comprends ? »

Magalie :

« Oui, Nono, j’comprends et j’voudrais pas être à ta place, dans ce cas-là. »

A ce moment, on entend rentrer ma Tante avec Kevin et s’adresser à Maman.

Tata Stéphanie :

« Eh bien, grande sœur, je constate que tu as rougi une nouvelle fois, les p’tites pommes d’amour de mes p’tites nièces. Qui ont l’air, d’être très gênées d’exposer ainsi leurs popotins tout rouges, surtout ma p’tite filleule chérie pudique. N’est-ce pas, Gaëlle ? »

Bien entendu, ma p’tite sœurette ne répond pas, devant avoir les joues du haut aussi rouges que celles du bas, suite au sarcasme de sa Marraine. Ce remettant simplement à pleurnicher. Et Maman enchaîne.

Maman :

« Ô c’est très simple, p’tite sœur. Ces deux gazelles se sont moquées de leur sœur aînée, durant la fessée que je lui donnais sous leurs yeux et ceux de ta grande fille, pour l’exemple. Elle, se montrant compatissante au sort de sa cousine. »

Tata Stéphanie :

« D’accord, Clo, je comprends mieux, pour ces p’tites demoiselles au cucul rouge. Mais tu m’intrigues au sujet de ma grande nièce, qu’à t’elle fait pour mériter cette fessée ? A-t-elle été insolente avec toi, comme Magalie me l’a fait , il y a 3 semaines ? Pas de chance pour elle, son oncle était juste derrière et c’est lui qui l’a attrapé par l’oreille, avant de lui flanquer, la bonne fessée cul-nu qu’elle méritait. »

Maman :

« Oui je sais, il m’en a parlé, en rentrant. Eh bien non, sœurette. Elle a simplement reçu sa première colle de collégienne vendredi, en dernière heure de cours et me l’a caché durant tout le week-end, jouant les p’tites filles modèles même face à son père. Donc, je te laisse deviner ma colère quand j’ai découvert ça sur le site, ce matin. »

Tata Stéphanie :

« Je l’imagine très bien, tu devais fulminer. Est-ce que Bernard est au courant ? »

Maman :

« Non pas encore, il ne devrait plus tarder et je vais tout lui expliquer. Quand il verra, c’est deux p’tites princesses cul-nu au coin. »

Tata Stéphanie :

« Ô la, la ! Ma chère grande nièce, risque d’en prendre une deuxième carabinée de son Papa. »

Maman :

« C’est fort possible, Steph, d’autant que celle-ci sait un peu rebellée quand j’ai voulu la déculotter, retenant sa culotte par l’élastique au point de le faire craquer. Ce qu’elle m’a fait par le passé, alors j’ai trouvé la parade en la basculant aussitôt sur mes cuisses et lui ai filé une première tournée, par-dessus celle-ci. »

Tata Stéphanie :

« Ah ! Oui, Maman l’avait fait à plusieurs reprises avec moi, qui refusait d’être cul-nu à cause de ma pudeur prononcée. Comme ma p’tite filleule Gaëlle ou mon fiston. »

Maman :

« C’est ça, ma chérie, de plus tout en claquant son popotin. Je lui ai demandé si elle était satisfaite et est-ce que sa p’tite culotte protégeait bien ses jolies fesses. Bien évidemment, la réponse fût « Nonnnn, M’man », il faut dire que je n’ai pas retenu mon bras. »

Tata Stéphanie :

« Ça je n’en doute pas une seconde, grande sœur, comme Maman à l’époque. Hi, hi, hi. »

Maman :

« Exact et elle l’a senti passé, malgré sa p’tite culotte pas très protectrice. Que j’ai fait glisser vers le bas ensuite, pour la vraie bonne fessée qu’elle méritait. Hi, hi, hi. »

Ma Tante et Maman rient ouvertement de mes déboires, ceci sous les oreilles attentives de mes frangines au coin. Ce qui va alimenter leurs possibilités de petites piques, à mon égard et qui me fait à nouveau pleurer, ma cousine me console comme elle peut. D’autant que Papa, rentre à ce moment-là.

A suivre……

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