Nolwen raconte : Mes années collège (12)

Maman :

« Alors mes p’tites cocottes, la fessée de votre grande sœur vous as bien distraites, toutes les deux ? »

Mes frangines deviennent toutes pâles, ayant visiblement compris les intentions de notre chère mère. C’est Manon la douillette et plutôt affolée qui réponds en premier avec fébrilité, suivit de Gaëlle plus frondeuse qui élève la voix avec insolence, genre de chose que Maman n’apprécie pas, comme le mensonge et je viens d’en avoir la preuve.

Manon :

« Euhhh…nonnnn…euh non, Maman. J’te promets. »

Gaëlle :

« Bien sûr que non, M’man ! Qu’est-ce que tu vas imaginer ! »

Maman :

« Ne mentez pas ! Magalie et moi, avons bien vu, que vous mettiez vos mains sur la bouche pour ne pas exploser de rire. Quand je donnais sa fessée à Nolwen, de plus en montant à l’étage, je vous ais clairement entendu chuchoter et glousser comme des dindonnes. Je pense que votre grande sœur aussi ! Donc cessez de me prendre pour une idiote ! Tant qu’à toi, Gaëlle, tu ne trouves rien de mieux, qu’ajouter de l’insolence à tes propos mensonger. Alors, mes p’tites chéries, si au départ j’avais prévu pour vous une dégelée courte et rapide, pour moqueries envers votre sœur. Eh bien, maintenant vous allez avoir droit à une bonne fessée, sous les yeux de votre cousine et votre sœur. Je crois que là, vous allez beaucoup moins rire. Aller hop, debout face à moi, mains sur la tête et vite, car j’ai le dîner à finir de préparer ! »

Mes sœurs sont livides, avec des larmes coulant sur leurs joues. Tout en obéissant, à l’unisson elles implorent Maman, en pure perte.

Mes frangines :

« Nonnnn…Nonnnn…M’mannn ! Pas la fesséeeeee…s’te plaît ! On l’ferassss plus jamaisss ! Mais passss…la fessée, ça fait trop malllll… »

Cela fait sourire Maman, qui joignant les gestes à la parole, passe ses doigts sous l’élastique du pyjama de Gaëlle qui par réflexe accroche ses mains a celui-ci, en implorant de nouveau notre chère mère.

Gaëlle :

« Nonnnnn…Nonnnn…M’mannn ! Pas la fesséeee…à nuuuu ! Bouhouhou… ! J’veuxxx…passss ! J’aime…passs ça! Bouhouhou… ! »

Maman :

« Tu plaisantes, ma chérie. Que tu le veuilles ou non, je vais vous déculotter toutes les deux ! Car une bonne fessée, c’est cul-nu ! Alors remets tes mains sur ta tête, sauf si tu en veux une deuxième, après avoir été au coin. Exécution ! »

Ma p’tite sœur pleure plus fort, mais obéi et Maman descends tranquillement le pyjama jusqu’aux chevilles, puis en fait de même avec celui de Manon qui pleure également. Ce donc notre chère mère, n’a que faire. Mes sœurettes ont les fesses à l’air et je vois leurs p’tites pommes toutes blanches frémir de peur. Maman fait légèrement reculer Manon et saisi le poignet de Gaëlle, pour la faire passer sur le côté de son giron, la basculant sur ses cuisses dans le mouvement ! Ma p’tite sœur adresse de grandes suppliques inutiles, à notre chère mère qui lui réponds avec ironie.

Gaëlle :

« Nonnn… ! Nonnn…M’mannn ! Pas la fesséeee…ça fait malll ! J’t’en supplieeee…Bouhouhouhou… ! »

Maman :

« Ô mais si ma p’tite puce. Une bonne fessée de Maman, sur ton p’tit cucul tout nu et tout blanc. Pour t’être moquée de ta grande sœur et jouer l’insolente en niant les faits. Cela te fera le plus grand bien et ne t’inquiètes pas Maman va rougir tes p’tites fesses comme il faut. Je sais que ça fait mal, mais c’est le but d’une fessée, pour qu’on s’en souvienne. »

La valse maternelle commence, faisant hurler Gaëlle spécialiste de ce genre de vocalises. Je vois Manon trembler de trouille, en attendant son tour. Il me semble que la main de Maman, qui couvre l’intégralité du fessier de ma p’tite sœurette (6 ans). Claque plus fort que d’habitude son p’tit popotin. Il faut dire que depuis l’âge de 4 ans et sa première déculottée (comme Manon), celle-ci en a reçu un certain nombre du fait de son caractère très trempé. Mes p’tites sœurs nous ayant devancées sur l’autel de la fessée déculottée, Magalie, moi et Kevin (5 ans) qui ne reçois que de courtes dégelées, par-dessus son slip ou le pyjama à cette époque.

La fessée dure un peu plus longtemps également, les fesses de Gaëlle ont viré au rose framboise. Lorsque Maman arrête son bras quelques instants pour examiner son p’tit derrière et lui sert alors un final tonitruant qui fait se tendre ma p’tite sœur hurlant de douleur, sans simulation cette fois. Celle-ci, s’affale sur les cuisses de Maman, éreintée par la fessée et ses gesticulations qui lui ont fait perdre son bas de pyjama. La gardant quelques instants, Maman la remet sur ses pieds en la stabilisant, ma frangine est une vraie fontaine de larmes, celle-ci n’ose même pas porter ses p’tites mains sur ses deux pommes d’amour bien cuites. La faisant reculer Maman reprends la parole, en chopant le poignet de Manon et la bascule comme une crêpe sur son giron.

Maman :

« Aller, Manon, à ton tour. Tu es prête, pour la bonne fessée de Maman chérie ? »

Manon :

« Nonnnnn…Nonnnnn…M’man ! Ça m’fait trop mallll…à chaque fois…j’t’en supplieeee ! Passss…la fesséeeee… ! J’le ferais plussss…promissss… ! Maissss…pas, la fesséeeee… ! J’t’en prieeee… ! »

Maman :

« Bien sûr que si, ma p’tite cocotte, cette bonne fessée te feras aussi le plus grand bien, comme ta p’tite sœur. Pour t’être moquée de ton aînée punie et mentir. Or tu sais que j’ai horreur de ça. Bon allons-y. »

Je vois les p’tites pommes blanches de Manon (un peu plus de 7 ans), plus rondelettes que celles de Gaëlle, frémir de peur étant la plus douillette de nous trois. Maman démarre sur un ton tonitruant, faisant hurler ma sœur, sa main parcoure tout le joufflu. Gauche, droite, centre, haut des cuisses faisant monter la voix de ma frangine dans les aigus. Il est certain que pour Maman, ce popotin offre un peu plus de surface que sa benjamine, à sa mimine redoutable. Alors que dire des nôtres à Magalie et moi.

Maman fait une pause, avant de repartir de plus belle, sur chaque hémisphère et le haut des cuisses. Manon est déjà rincée, après avoir gigoté sous l’avalanche des claquées et perdu son pyjama. Elle lui sert alors le final, au centre de ces fesses, ma sœurette se cabre en hurlant sa douleur. Avant de s’affaler totalement sur les cuisses de Maman, qui la garde un moment en place et la remets sur pieds.

A suivre….

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