Par Jean-Philippe :
Je suis entré en 6ème à 10 ans 1/2 (1963) dans un lycée d’enseignement général de bon niveau, choisi par maman qui était enseignante (prof d’éducation physique) dans un collège de filles.
Pas assez mature, je commence très mal mon 1er trimestre. La prof principale de maths demande donc à rencontrer Maman pour l’informer de cette insuffisance de travail.
Mme Chabut :
« Bonjour Mme Lascombes, je me suis permise de vous convoquer pour vous faire part de l’insuffisance de travail de Jean-Philippe, à mes cours de mathématiques, alors qu’il obtient de bons résultats en français ou dans les autres matières ! Ce qui me chagrine, dans la mesure où je m’efforce de l’aider davantage que ses camarades, mais je pense qu’il n’est pas très motivé pour cette matière. »
Maman très calme, va alors me surprendre.
Maman :
« Mme Chabut, je vous remercie de m’avoir prévenue pour ce manque de motivation de mon fils qui ne me surprend pas ! Alors je vous autorise à lui administrer une fessée déculottée devant ses camarades si vous constatez à nouveau, un manque d’efforts de sa part ! »
Mme Chabut :
« Très bien, Mme Lascombes, je le ferai si nécessaire et je vous remercie de vous être déplacé. Mais je pense que cette mise au point avec vous était essentielle pour son avenir. »
La Prof principale ne tarde pas à utiliser cette autorisation de me corriger devant toute la classe, 2/3 semaines après cet entretien, lors de l’un de ses cours. Ce jour-là, je suis pour le moins inattentif et ne montre pas d’efforts pour les petits exercices simples qu’elle nous donne à faire, en rapport au cours.
Tant et si bien, que 5/10 minutes avant la fin de celui-ci, elle me convoque sur l’estrade.
Mme Chabut :
« Jean-Philippe !!! Viens donc me voir, s’il te plaît. »
Là je pense aussitôt que ça sent le roussi pour moi, conscient qu’elle n’est pas satisfaite de mon travail du jour ! Néanmoins j’obéis, alors qu’elle déplace une chaise à côté de son bureau. Là dans ma p’tite tête, ça ne fait qu’un tour, elle va mettre à exécution l’autorisation maternelle et j’ai franchement les chocottes. Une fessée, plus la honte indescriptible d’être corrigé devant mes camarades. J’en frémis !!!
Les choses ne vont pas traîner ! Arrivé devant elle, assise sur la chaise, elle me met sous le nez ma copie d’exercices dont beaucoup sont entourés de rouge (couleur prémonitoire) et me dit.
Mme Chabut :
« Jean-Philippe ! Encore une fois, tu n’as fait aucun effort pour ces exercices simples relatifs au cours que je viens de donner ! Plus de la moitié sont faux, preuve que tu n’as été très attentif durant ses deux heures ! Par conséquent, je vais donc te donner une bonne fessée déculottée devant tes camarades et rougir tes fesses à l’image de ta copie. Comme ta Maman m’y a autorisé ! »
Bien évidemment, je proteste ! Alors que celle-ci attaque les boutons de mon short (tenue classique pour les écoliers et collégiens dans les années 60).
Moi :
« Nonnn ! Nonnn ! Pas la fessée d’vant la classe !!! J’vous en supplie ! J’ai honte !! S’il vous plaît, pas ça !!! »
Mme Chabut :
« Il fallait réfléchir avant, mon garçon et bien écouter mon cours ! Alors tant pis pour toi, cela t’aidera sans doute à fournir les efforts nécessaires, dans ma matière ! Allez ne perdons pas de temps ! »
Tout en me répondant, elle poursuit son effeuillage et je suis maintenant à demi-nu, short et slip aux chevilles ! Me faisant passer sur son côté, elle me bascule sur ses cuisses et m’administre une fessée tonitruante et cuisante à souhait ! Bon dieu, elle sait y faire comme Maman.
Le second trimestre n’est pas plus brillant. Je connais par cœur mes tables de multiplication mais je déteste faire les problèmes, ne réfléchissant pas suffisamment, j’abandonne l’exercice ce qui me vaut quelques zéros pointés à faire signer par maman et bien sûr à chaque fois une fessée déculottée que maman m’administre devant ma sœur cadette, qui rigole !
Arrive le mois de juin et ma prof de maths demande mon redoublement pour manque de travail et immaturité. C’est vrai que je suis un vrai bébé. Je suce encore mon pouce. Ma chipie de p’tite sœur m’appelle ‘‘bébé Cadum’’ devant ses copines qui viennent à la maison.
Lorsque maman reçoit le bulletin trimestriel avec la mention ‘‘redoublement’’, elle ne dit rien sur le coup mais le lendemain, elle vient me chercher au lycée chose qu’elle ne fait jamais.
Je viens de sortir du cours de maths de Mme Chabut. Maman m’attend de pied ferme et vient au-devant de moi ! Sans dire un mot, elle me prend par la main et m’amène vers un banc juste en face de la sortie afin que tout le monde puisse nous voir.
Je comprends immédiatement que je vais encore y passer devant tout le monde (fréquent avec Maman) et du monde, il y en a : les élèves, les professeurs, les parents venant chercher leurs enfants en voiture.
Maman s’assied et commence à baisser mon bermuda. Je tente de l’en empêcher en mettant mes mains. Peine perdue, je reçois une claque sur mes mains. Alors, je me mets à taper des pieds et à gigoter dans tous les sens, rien n’y fait. Mon bermuda est vite descendu à mes chevilles puis maman s’attaque à mon slip ‘‘Petit Bateau’’ qu’elle baisse avec dextérité, pour lui faire rejoindre le bermuda. Je me mets à pleurer et met mon pouce à ma bouche, instinctivement pour me rassurer.
En un rien de temps, Maman me couche sur son giron et claque mon derrière avec une telle énergie que je me mets à hurler ameutant tous les élèves. J’entends même l’un de mes propres camarades dire.
Le camarade :
« La maman de Jean-Philippe lui donne une fessée parce qu’il va redoubler la 6ème à la rentrée prochaine ! »
Je n’entends plus rien après, sauf le bruit des claques de maman sur mes fesses. Soudain, j’ai la respiration coupée et je pars dans d’énormes sanglots. Maman me relève et me fait la morale devant tout le monde, les fesses à l’air et le petit oiseau aussi. Puis elle me reculotte et me prend par la main, pour rentrer à la maison.
Arrivée là, je reçois une seconde fessée tout aussi carabinée sous les yeux de ma petite sœur âgée de 9 ans pour l’exemple, qui me traite de ‘‘bébé Cadum’’ à nouveau car après la fessée, je prends mon pouce pour me consoler. Celle-ci va regretter sa méchanceté un an plus tard sous mes yeux et ceux de ses copines.
Comme quoi, un ‘‘redoublement’’ pour manque de travail, peut coûter très cher à vos fesses
Fin
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