• En guise d’introduction

    Par Chloé:

    Femme de bientôt 46 ans, fille et femme de militaires comme ma sœur (30 mois d’écart). Nous avons été élevées par des parents aimants, mais strictes concernant la discipline, l’ordre et l’apprentissage scolaire, pardonnant l’incompréhension, mais pas la fainéantise ou le manque de travail.

    Ceux-ci étant adepte de la fessée (nés en 1943) pour l’éducation des enfants, vous pouvez donc imaginer que les deux sœurettes espiègles et prêtes à toutes les bêtises, aient connues de belles envolées fessières.

    Ma sœur (avocate) et moi (responsable administrative), avons reprit ce principe d’éducation envers nos enfants, en accord avec nos époux (eux-mêmes élevés au martinet et devenus, Officier de Marine).

    Comme vous l’aurez tous compris, ma sœur et moi, comme nos maris sommes également adeptes de la fessée, comme punition pour les enfants. Il se trouve que dans le cadre de mon travail à 80%, je bénéficie de tous mes mercredis et des vacances scolaires (sauf exception).

    Je bénéficie également d’horaires aménagées depuis ma prise de fonction au sein du club, en 2004. Me permettant de récupérer mon aînée et ma nièce du même âge en maternelle, à partir de 2007.

    Et au primaire par la suite, même chose avec mes cadettes (Manon et Gaëlle) et mon neveu (Kevin), ainsi que les enfants de mes amies.

    Avec ma qualité de responsable administrative au club et ma seconde Sylvie (36 ans), qui a les mêmes convictions que moi concernant l’éducation des enfants, nous avons eu l’occasion de rencontrer des parents bien sûr. Mais aussi des Mamans seules avec leurs enfants, suite à des drames divers (décès, divorces compliqués, abandon du père) totalement perdues faces à leurs gamins (es).

    Telle que Vanessa, rebelle envers les professeurs ou sa mère et les adultes en général. Ou d’autres en perdition face aux évènements subis.

    J’ai donc aidé ces Mamans à retrouver une autorité parentale, qu’elles avaient perdues envers leurs mouflets (tes) selon cette méthode commune à ma sœur et Sylvie, que j’ai cité précédemment. Ces Mamans ont repris les choses en mains vis-à-vis de leur progéniture et sont devenues nos amies, à toutes. Ce qui fait que je garde leurs mouflet (tes), le soir, les mercredis et durant les vacances scolaires.

    Je dois également préciser que Sylvie (Maman de Nadège, 17 ans), Christiane (Maman de Vanessa,18 ans), ma sœur et moi (Magalie et Nolwen, 17 ans) avons toutes formées nos grandes filles à corriger les plus jeunes, frères, sœurs ou enfants de nos amies en notre absence, lorsqu’ils font des bêtises ou sont insolents (tes).

    Ce sont des jeunes filles responsables et de brillantes lycéennes, auxquelles nous faisons confiance. Même si parfois elles passent encore sur nos genoux. Vous trouverez donc quelques récits où ces grandes filles interviennent.

    Alors vous comprendrez que ce blog est constitué de témoignages et non de fictions. Par conséquent, j’invite tous les internautes ayant un vécu identique passé ou actuel avec leurs enfants à m’adresser leurs témoignages sur l’une de mes adresses mail: « chloedemaitre@gmail.com » ou « lafesseevuedesdeuxcotes.blog »

    Avis à mes lecteurs: Vos commentaires sont les bienvenus, s’ils restent dans le cadre de mes témoignages, car lire c’est bien, mais commenter c’est mieux.

    Chloé Demaître

  • Une magistrale fessée au square à 13 ans, par une inconnue.

    Par Jean-Philippe :

    A 13 ans, en 1966. J’avais l’habitude de retrouver mon copain au square près du domicile de mes parents. Ce jour-là, j’arrive en avance et j’aperçois 2 gamines d’environ 10 ans qui jouent à la balançoire et décide de les déloger pour me balancer à mon tour. Alors, je leur lance du sable dans la figure, aussitôt elles se mettent à crier et appellent leur maman.

    J’entends une voix derrière moi et me retourne apercevant une jeune femme très jolie qui m’interpelle.

    La Maman :

    « Dis-moi, jeune homme, tu n’es pas un peu trop grand pour jouer à la balançoire et arrête d’embêter mes filles sinon je me lève et je te donne une fessée ! »

    Par bravade, je ne me laisse pas impressionner et lui réponds.

    Moi :

    « Vous n’oserez pas et d’abord vous n’êtes pas ma mère pour me corriger et puis il faudrait déjà que vous m’attrapiez, je cours plus vite que vous ! »

    Soudain, je vois la jeune femme se lever d’un bond et fondre sur moi, telle une panthère. Je prends mes jambes à mon cou et déguerpis le plus vite possible. Manque de chance, la jeune maman me rattrape en un rien de temps, me prend par le bras et me ramène vers le banc où elle était installée.

    La Maman :

    « Tu pensais t’échapper, mon p’tit bonhomme mais je cours plus vite que toi, j’ai 30 ans et suis professeure de sport au lycée.  Et toi quel âge as-tu pour être si impertinent ? »

    Moi :

    « J’ai 13 ans M’dame. »

    La Maman :

    « Eh bien, malgré tes 13 ans, je vais te donner une fessée pour ton arrogance et ce, devant mes jumelles ! »

    Là je panique littéralement, c’est une étrangère, non ma mère !!!

    Moi :

    « Non M’dame, ne faîtes pas ça j’vous en supplie et j’vous d’mande pardon !!! »

    Mais la jeune maman attaque déjà les boutons de mon pantalon. Je tente de l’en empêcher en mettant mes mains sur ma braguette. Je reçois alors une gifle en pleine figure qui me tétanise et je la laisse me déculotter, baissant mon pantalon avant de faire suivre mon slip ‘Petit Bateau’ au même niveau. J’entends ses gamines rire et l’une d’elles dire à haute voix.

    La jumelle :

    « Ça y est, maman l’a déculotté on va voir son zizi et ses fesses, c’est bien fait pour lui ! »

    En effet, je suis les fesses à l’air et mon petit oiseau tout droit, ce que je ne comprends pas. Mais le joli minois de cette maman doit y être pour quelque chose pour le pré-ado que je suis. Mais elle se moque totalement de cet émoi, sans doute naturel et me couche sur ses genoux pour me fesser. Elle y met toute son énergie, devant savoir qu’à 13 ans je peux subir une fessée magistrale. C’est ce qui va se produire. La fessée est à la hauteur de mon insolence.

    Très vite, je me mets à crier car mes petites fesses sont en feu. La maman n’arrête pas de claquer mon derrière tout en me faisant la morale devant ses filles.

    La Maman :

    « J’espère que tu te souviendras longtemps de cette fessée, ce n’est peut-être pas la première que tu reçois, mais crois-moi que celle-là restera gravée dans ta mémoire. »

    Je crie de plus en plus fort et pleure à gros sanglots, puis le souffle couper, j’éclate à nouveau dans d’énormes sanglots pensant absorber la douleur cette magistrale fessée. La jeune maman me relève enfin et me tenant par les mains pour ne pas que je tombe, elle reprend la parole.

    La Maman :

    « Recommenceras-tu à embêter mes filles comme tu viens de le faire ? »

    Moi :

    « Non M’dame, j’vous le promets ! »

    La Maman :

    « Eh bien maintenant, tu vas quitter le square et que je ne te revois plus jamais ici, sinon !!! »

    Je ne bouge plus. Je n’ai plus de force. La jeune maman remonte mon slip et mon pantalon. A cet instant, je n’ai plus 13 ans mais 5 ans. Je ne suis jamais revenu dans ce square où jamais je n’aurais imaginé recevoir une magistrale fessée par une inconnue, qui n’était pas ma mère.

    Deux heures plus tard, allongé sur mon lit sur le ventre, digérant bon gré, mal gré celle-ci ! Je repense à cette si jolie maman de 30 ans, revoyant ses doigts de fée en train de me déculotter et dévoiler tant mes fesses que mon zizi dressé qui me surprend. La cuisson qui règne sous mes vêtements provoque alors la même sensation bizarre, qu’à ce moment-là, dans mon bas ventre. Ressentant le même phénomène sur mon anatomie, à l’intérieur de ceux-ci sans en comprendre la raison. Cette fessée n’ayant pas été une source de plaisir ou de joie pour moi à cette époque, mais plutôt de douleurs et de vexations.

    Fin.

  • Une magistrale fessée de Maman, pour un geste impardonnable.

    Par Jean-Philippe :

    J’avais 15 ans et j’étais lycéen en classe de seconde.

    Dès que le printemps pointait son nez, maman venait me chercher tous les samedis midi en voiture pour partir en Normandie, dans la maison de campagne de mes grands-parents.

    Ce samedi de mai 1968, je sors des cours et je discute devant la sortie du lycée avec des copains et ma petite copine Emeline qui me rejoignait à midi (étant dans un lycée voisin) car la mixité n’existait pas encore.

    Nous discutons tous ensemble lorsque ma mère arrive et klaxonne 2 fois pour que je la rejoigne.

    Mais, ce fameux samedi, je ne désire pas quitter Emeline pour aller m’ennuyer à la campagne, même s’il y a Anne mon amie d’enfance, mais qui n’est pas mon amoureuse.

    Je fais donc celui qui n’a pas entendu l’avertissement sonore de la voiture et continue la conversation.

    Re coup de klaxon de ma mère. Je m’énerve et me tourne en direction de la voiture et lui fais un doigt d’honneur puis me retourne vers mes copains.

    Soudain Emeline me tape sur l’épaule et me dit.

    Emeline :

    « Jean-Phi, ta mère sort de sa voiture et court vers toi ! »

    Je prends mes jambes à mon cou, sentant le danger. Il faut que je vous précise que ma mère a 36 ans et est professeure d’éducation physique et ancienne championne d’athlétisme en Ile-de-France. Elle me rattrape en quelques secondes et me saisit par le bras. Je suis essoufflé et en nage car il fait chaud. Maman me ramène devant la sortie du lycée et s’installe sur un banc juste en face de mes copains et d’Emeline.

    Autant vous dire, que n’étant pas idiot et ayant un vécu avec ma chère mère depuis l’enfance, je saisis immédiatement ses intentions et dans un réflexe inutile, je lui dis.

    Moi :

    « Non M’man ! Fais pas ça, pas la fessée, pas devant ma copine, je t’en supplie !!! Nooon !!! »

    Maman :

    « Bien sûr que si, mon trésor, je vais t’apprendre, ce qu’il en coûte d’adresser un doigt d’honneur à ta mère qui n’est pas une copine et à laquelle, tu dois le respect !!! »

    Et Maman joignant les gestes à la parole baisse mon jean et mon slip ‘Petit Bateau’. Je suis cul nu devant tout le monde sans pouvoir me défendre. Comment lutter face à une jeune maman déterminée et de surcroît sportive.

    Je me retrouve vite fait sur ses genoux comme un petit garçon de 6 ans pour recevoir une bonne fessée. Et celle-ci me calant correctement, m’infantilise davantage.

    Maman :

    « Alors, mon chéri, quel effet ça fait de se retrouver le cucul à l’air comme un vilain p’tit garçon de 6 ans, sous les yeux de ta copine et tes amis ? Tu fais moins le fier, maintenant et je suis certaine, que tu ne me referas plus ce geste obscène à l’avenir ! Après ce que tu vas prendre, fais-moi confiance ! »

    Ce en quoi, elle a raison, c’est humiliant de se retrouver dans cette position devant tout le monde, même si je n’en suis pas à ma première expérience, comme ma p’tite sœur Christine. Je n’ai jamais reproduit ce geste après cette trempe publique d’anthologie et surtout sous les yeux de ma copine, du moment.

    Quelle fessée ! Il faut dire que c’est amplement mérité pour ce geste abominable envers ma génitrice. Je vais crier et pleurer ameutant tous les lycéens qui sortent des cours. Maman me fesse au moins 5 bonnes minutes puis me relève et me fait la leçon, avec une ironie vexante devant Emeline, m’appelant par mon surnom.

    Maman :

    « Tu vois, Doudou, je suis ta Maman et non ta p’tite copine, que je connais bien et qui a pu à nouveau constater que je ne plaisante pas sur le respect dû aux parents et les adultes en général !!! N’est-ce pas Emeline ??? »

    Ma p’tite copine prise au dépourvu par cette interpellation, se souvenant sûrement de la fessée que lui avait donné Maman au gymnase du collège pour filles où elle enseignait, l’année précédente. Et n’ayant sans doute pas envie de prendre ma suite, répond avec une certaine émotion et en faisant un aveu spontané.

    Emeline :

    « Oh oui…Madame…nous nous connaissons !!! En effet…j’ai…vu et…euh…pour tout vous dire…avec mes parents…euh c’est pareil que pour Jean-Phi…j’n’y échappe pas…ainsi que mon frère et ma sœur plus jeunes !!! »

    Maman :

    « Bravo Emeline, je constate que tu as de la mémoire !!! Et cet aveu spontané me prouve que certains parents savent encore élevés leurs enfants correctement, en utilisant la bonne méthode qui a fait ses preuves !!! Tu es trop mignonne et je suis certaine que tes parents sont fiers de toi. »

    Emeline :

    « Voui, M’dame !!! J’suis sérieuse dans mes études, mais j’fais encore quelques bêtises que Maman sait corriger de façon cuisante !! Euhhh…vous voyez…M’Dame !!! »

    Maman :

    « En effet, ma grande, je vois très bien ce que tu veux dire et ta Maman as raison, rien de tel qu’une bonne fessée déculottée pour te remettre sur les rails, même si ce n’est pas très agréable !!! Dis-toi qu’elle le fait pour ton bien et ton évolution de jeune fille, tout comme moi avec Jean-Phi qui a encore parfois des égarements comme aujourd’hui !!! Je suis contente que mon fils, ai choisi une petite amie, intelligente. »

    Je n’écoute l’échange qu’à moitié, dans mon brouillard d’après fessée, ne percevant que les louanges maternelles envers Emeline, apprenant que celle-ci est soumise au même régime que moi.

    Néanmoins durant celui-ci, je suis toujours cul nu et je me sens honteux, devant Emeline, mon oiseau en berne !!! Alors je tente de me reculotter mais Maman m’en empêche catégoriquement.

    Maman :

    « Tu remonteras ton slip et ton pantalon lorsque je te le dirais, ça t’apprendra ! »

    Enfin, maman me dit de me rhabiller et nous quittons la place du lycée pour rejoindre la voiture. Je suis Maman, la tête basse, faisant juste un signe de la main à Emeline tellement j’ai honte.

    En fait cette magistrale fessée publique, je l’ai amplement cherchée et reçue, comme il se doit ! Lundi matin, je retourne au lycée et j’entends des élèves dire en rigolant.

    « Eh ! C’est le gars qui a reçu une fessée par sa mère samedi ! »

    Je n’étais pas fier du tout d’avoir été puni comme un petit garçon alors que j’avais 15 ans. Seule Emeline montra de la compassion envers moi, peut-être parce qu’elle aussi, était soumise au même régime que le mien avec ses parents.

    Fin.

  • Cassandra fessée devant le collège, par sa Maman.

    Par Jean-Philippe :

    En 2016, me promenant un jour dans mon quartier. Je passe devant le collège vers 17h et j’aperçois la maman de Cassandra Mme Blanc qui attend sa fille et à laquelle je donne des cours particuliers depuis son entrée en 6ème.

    Je m’arrête pour lui dire ‘bonjour’ et la conversation s’engage entre elle et moi. Elle me dit qu’elle est venue chercher Cassandra pour un rendez-vous chez le dentiste et me précise.

    Mme Blanc :

    « Vous ne savez sûrement pas, Mr Lascombes, que Cassandra a bien progressé dans ses études et muri, depuis vos cours particuliers à domicile depuis son entrée en 6ème. Tout n’est pas aussi parfait que je le souhaiterais, surtout dans sa relation avec moi ou son père ! Mais bon, elle s’améliore !!! Je suis plus sereine, avec sa p’tite sœur de 7 ans qui suis derrière et a besoin d’une plus grande attention de ma part. Donc je tiens à vous remercier sincèrement de votre contribution, même si je vous l’ai déjà dit. »

    Là, j’avoue que ces éloges de la Maman me scotchent, car je ne fais qu’aider sa fille à s’organiser et établir un plan de travail, pour une pré-ado ayant découvert un monde différent du primaire. Je reste donc sans voix, alors que les premiers collégiens/collégiennes sortent des cours.

    Soudain, sa fille arrive en compagnie d’une copine et passe devant nous sans s’arrêter, nous ignorant totalement !! La maman l’interpelle donc.

    Mme Blanc :

    « Cassandra !!! Tu le fais exprès d’ignorer notre présence ou quoi ? Tu sais que l’on a rendez-vous chez le dentiste !!! »

    Cassandra :

    « J’aime pas que tu viennes me chercher au collège !!! Je suis plus en 6ème mais en 4ème et j’ai 13 ans !!! »

    Le tout prononcé sur un ton d’insolence agressive de la part d’une gamine de 13 ans, envers sa mère. Ce que je supporte difficilement à mon âge (63 ans), ce manque de respect me hérissant le poil.

    Mme Blanc :

    « Cassandra, tu me parles sur un autre ton et je me fiche complètement de ton avis. Alors tu viens gentiment avec moi ou je te mets une fessée devant ta camarade !!! »

    Cassandra :

    « Dans tes rêves m’man !! »

    Puis la gamine lui adresse un doigt d’honneur !!! Ce geste m’horrifie de la part d’une fille de cet âge, même si moi-même j’ai fait la même chose envers ma mère à l’âge de 15 ans, qui me valut l’une des plus sévères fessées déculottées de mon adolescence devant le lycée (récit qui suivra, juste après) !!! Alors là, je vois la maman fondre sur sa fille qui n’a pas la possibilité de déguerpir vu le monde qui est présent devant le collège. Elle l’attrape par la main et commence à déboutonner son jean, la mouflette regimbe fortement aussitôt.

    Cassandra :

    « Mais M’man, qu’est-ce que tu fais ??? Tu vas pas faire ça devant tout le monde !!! Non, j’t’en supplie !!! »

    La réaction de la gamine confirme, ma pensée. A savoir que Cassandra n’en est pas à sa première expérience en matière de fessée déculottée avec sa Maman, ce que je soupçonnais lors de mes cours privés en faisant le compte-rendu ‘minimiser’ de la séance de soutien. Sauf que la Maman n’était pas dupe connaissant parfaitement sa fille et sachant qu’un Papy n’allait pas l’enfoncer.

    Néanmoins je n’avais jusqu’à ce jour, jamais assisté à une fessée de Cassandra (à l’inverse de sa p’tite sœur Manon), comme d’autres d’ailleurs et en premier lieu ses camarades de collège, ainsi que les Profs. Ce que moi-même, entre parenthèses, j’ai vécu avec ma chère Maman à 14 ans pour avoir séché les épreuves du Bepc (autre récit en préparation).

    Mme Blanc :

    « Tu aurais dû réfléchir, avant de m’adresser ce geste obscène ! Toi, qui à 13 ans comme tu le clames ! Et donc à priori censé avoir du respect envers ta mère, qui n’est pas une copine !!! »

    Sa maman, est très déterminée à la corriger. Sans se préoccuper de la présence du public nombreux, la gamine gesticule, tape des pieds mais rien n’y fait. Elle n’est pas de taille à lutter avec sa mère, d’un genre musclé et véloce.

    Son jean est déjà baissé et sa mère en fait de même pour sa petite culotte blanche avec dextérité, dévoilant ainsi la lune de sa fille en plein jour. Cassandra commence à pleurnicher, pensant amadouer sa maman qui reste de marbre et poursuit sa tâche, en précisant à sa fille sur un ton ironique et vexant.

    Mme Blanc :

    « Cesse donc tes larmichettes de fillette, dans quelques instants tu vas avoir une bonne raison de vraiment pleurer, fais-moi confiance !!! Allez hop !!! »

    Elle la prend sous son bras et de sa main libre déverse une avalanche de claques qui fait aussitôt hurler de douleur Cassandra.

    Je ne saurais vous dire le nombre exact de claques qu’elle a reçues durant ces 2/3 minutes, mais soudain la gamine a le souffle coupé et éclate en gros sanglots, non feint.

    Sa maman la remet alors sur ses pieds. Cassandra est défigurée par un torrent de larmes et sautille d’un pied sur l’autre, en frottant ses fesses bien rouges. Mme Blanc la reculotte telle une petite fille puis la saisit par la main en ajoutant.

    Mme Blanc :

    « Cassandra ! J’espère que cette fessée publique te fera comprendre que tu me dois le respect et que tu ne diriges pas encore ta vie, comme bon te semble !!! Sur ce, Jean-Philippe, je vous dis bonsoir et à demain pour le cours. »

    Un peu surpris par la détermination de cette jeune maman de 32 ans, mais également satisfait que de jeunes parents sachent bien éduquer leurs enfants, je lui réponds avec une certaine fierté.

    Moi :

    « Je vous en prie, Mme Blanc ! Je vous dis bonsoir à mon tour et à demain ! Et je vous félicite sincèrement pour cette action éducative envers votre fille, pour ce manque de respect. »

    La gamine toute penaude et rouge de honte, repart tenant la main de sa mère, le regard fixé vers le sol n’osant pas relever la tête pour regarder alentour.

    Actuellement je suis sa p’tite sœur, Manon qui a 13 ans, depuis son entrée en 6ème, sur demande de Mme Blanc. Aujourd’hui, Cassandra 19 ans en novembre est une brillante étudiante en école d’infirmière qui se souvient parfaitement de cette fessée ce soir-là ! M’en reparlant, elle fut très vexée d’être punie ainsi devant sa copine et tout le monde, y compris moi.

    Fin.

  • Fuite de Nolwen, pour échapper à sa punition (3)

    Par Chloé :

    Lui prenant le poignet, je la fais plonger au travers de mes cuisses malgré le frein de ses pieds et j’attrape la brosse de bains sur la table basse, mon geste n’échappe pas à Nolwen qui m’implore comme jamais.

    Nolwen :

    « Nonnnnn… ! Nonnnn… ! Nonnnn… ! M’mannn… ! J’t’en supplieee…j’t’en conjureee… ! Pas la brosseeee… ! J’vais pas supporter et j’vais mourirrrrr… ! Pitiéeeee… ! Pitiéeeee…, M’mannnn… ! J’m’échapperais plussss…et j’rangerais ma chambre… ! Promis… ! Promis… ! Mais pas c’te brosseeee affreuse… ! »

    Ma fille est toujours persuadée que je vais me servir d’entrée de la brosse que je pose en douceur à côté de moi, mais ça elle ne le voit pas. Mon idée est de lui servir quatre séries, deux à la main et deux à la brosse avec à chaque fois une pause, pour qu’elle se détende et récupère, ma gymnaste est très dure au mal ayant chuté plus d’une fois à la poutre ou aux barres asymétriques, comme moi à une autre époque. Je connais donc sa résistance et son endurance à la douleur, le prouvant une nouvelle fois avec cette grosse correction. Celle-ci me jouant même un tour auquel je ne m’attendais pas, du fait de sa vélocité.

    Je mets alors ma casquette ironique et affligeante pour elle, afin de lui répondre. Passant ma main en caresse sur ses deux hémisphères ronds et pleins, je lui dis.

    Moi :

    « Allons ma chérie, je connais parfaitement ton fessier comme celui de tes sœurs. La différence est que le tien a beaucoup évolué, par rapport aux leurs qui sont encore des p’tites crevettes. Donc je sais que celui-ci supportera la très bonne fessée promise et que tu seras bien vivante au final. Tu vas juste chanter plus fort et que tu n’oseras même pas poser tes mains, sur ton fessier une fois sur tes jambes. Je suppose que tu souviens de la sévère fessée reçue, en compagnie de Nadège, pour votre chapardage ? Toi, découvrant les effets de la brosse et ta copine ceux du martinet de sa Maman ? »

    Nolwen :

    « Bien sûr que vouiiii…M’mannnn… ! J’t’en prieeee…M’mannnn…donne-moi la bonne fessée que j’mérite avec ta main…Mais pas avec cette foutue brosse qui fait très mal et m’fais horriblement peur, j’t’en supplieee…M’mannn… ! Bouhouhou… ! »*

    Moi :

    « Je me doute bien que celle-ci t’horrifie, mais j’en ai assez que tu me prennes pour une cruche lorsque tu mérites une fessée, en t’enfuyant et revenir en catimini, pour que ma colère soit retombée grâce à d’autres occupations et que je ne fasse que te gronder, ce dont à mon avis tu te fiches royalement. Donc à partir de ce jour, comme je te l’ai dit, j’attendrai tranquillement que tu reviennes et tu n’échapperas pas à la bonne correction que tu mérites, même si tu reviens deux heures après. Ce sera juste un peu plus dur pour tes fesses. »

    Ma fille ayant bien compris que dorénavant je n’hésiterais pas à me servir de sa brosse à cheveux ou celle de la salle de bains comme aujourd’hui, encore plus redoutable. Je ne l’ai pas encore bien calée et voilà t’y pas qu’elle rue dans les brancards et réussi à sortir de mon giron grâce à sa souplesse, pour fuir à nouveau. Malheureusement pour elle, son jean et sa culotte aux chevilles entravent ses mouvements, au premier pas qu’elle fait elle s’étale comme une crêpe à mes pieds sur le tapis. J’ai envie de rire, mais je me retiens et au moment où elle se redresse sur ses genoux, j’attrape son bras et l’oblige à se remettre en place sur mes cuisses. Là je la bloque avec mon bras gauche, en resserrant l’étreinte de ma main sur le côté de sa taille et toute en ironie, j’ajoute.

    Moi :

    « Alors la grande fifille au cul nu voulait encore s’enfuir, sauf qu’elle a oublié comme la petite sotte qu’elle est, que son jean et sa culotte l’en empêcheraient, elle sait donc étalée comme une crêpe aux pieds de Maman chérie. C’est bête pour la p’tite demoiselle qui n’a pas réfléchi plus loin que le bout de son nez et que sa chère Maman va maintenant pouvoir punir comme elle le mérites, avec un p’tit supplément pour cette tentative grotesque et inutile. »

    Sans attendre, je déverse une grosse avalanche de claquées avec ma main, au milieu de son popotin. Celle-ci se met à crier immédiatement, alors que d’habitude elle contient ses expressions vocales au début, pour ne pas ameuter ses p’tites sœurs (8 ans et 7 ans) du genre curieux lorsque que l’aînée reçoit une fessée. Même si elles savent que je n’aime pas ça et ayant essuyé quelques bonnes fessées pour cela, juste après celle de la grande sœur (surtout Gaëlle, la plus jeune). Mais là ma grande fille, se lâche sans retenue, il faut dire que je n’y vais pas de main morte motivé par les cabrages de son corps et ses fesses qui se serres et se desserres aux rythmes des claques.

    Celle-ci doit penser qu’il s’agît du supplément pour son essai de fuite raté et qu’ensuite ce sera la brosse. Sauf que je continue la valse, m’attaquant à chaque hémisphère jumeau, ainsi que la jonction cuisse/fesses lui arrachant des cris stridents, entamant ainsi la première série prévue de cette correction. Constatant que son fessier à une coloration de belle facture, je fais une pause, laissant ma fille pleurer comme une madeleine et gémir. Après un moment que je juge assez long, je recale mon aînée qui au passage a perdu jean et culotte qui gisent sur le sol et je prends alors la brosse, lui assénant 12 coups espacés qui lui arrache à chaque fois un hurlement, puis je fais à nouveau une pause plus longue.

    Je constate que la coloration de ses deux globes jumeaux s’est accentuée, je décide donc de continuer avec la brosse pour conclure cette nouvelle série, avant le final avec ma main. Celle-ci est quasiment inerte sur mes cuisses, ne sachant plus trop où elle est comme perdue dans le vague.

    Je reprends donc la brosse pour 12 nouveaux coups moins espacés, la faisant se cabrer et hurler à chaque impact, puis posant celle-ci j’enchaîne aussitôt avec ma main. Le corps de ma fille est tendu comme un bout de bois, beuglant à tue-tête, je devine que les frangines sont à l’écoute car je n’entends aucun son dans les chambres.

    J’arrêtes le balancier de mon bras et garde ma fille sur mes cuisses pour qu’elle digère cette très grosse fessée. Lorsque je la relève son visage est défiguré par les larmes et elle tient à peine debout. Ecartant les jambes, je l’assois sur ma cuisse gauche en veillant à ce que ses fesses soient à l’extérieur et celle-ci se penche posant sa tête sur mon épaule pour évacuer ses derniers sanglots, en gémissant. Ma main posée dans le creux de ses reins ressent les effluves de chaleur que dégage son postérieur. En y repensant je crois, que c’est la plus grosse correction de l’année de ses 12 ans que je lui aie donnée, pour son problème de désordre chronique. Car il y en eu d’autre pour les problèmes scolaires (colles ou punition diverses) et lors du retour du carnet trimestriel ou son père prenait le relais, pour parachever les actions maternelles au cours du trimestre. Comme le faisait mon papounet, pour ma sœur et moi.

    En fait, ses deux premières années de collège furent les plus délicates pour ses fesses, comme pour sa Maman ou sa Tante. Et mes deux benjamines Gaëlle et Manon ont suivi le même mauvais exemple, ma benjamine ramenant sa première colle après seulement 3 semaines suivant son entrée en 6ème. Mon aînée s’assagissant un peu à partir de la 4ème.

    Fin de ce témoignage

    A suivre pour d’autres…

  • Fuite de Nolwen, pour échapper à sa punition (2)

    Par Chloé :

    Je l’entraine vers la véranda par sa queue de cheval, tirant sa tête vers l’arrière ma fille couine et me lance des suppliques larmoyantes.

    Nolwen :

    « Aie !! Ouille !! Ça me fait mal M’mannn, arrête s’te plaît ! J’te promets d’ranger ma chambre et plus m’enfuir !! Mais pas la fessée, j’ten supplieeee !! Bouhouhou, j’veux passsss ! Ça fait trop mal !»

    Moi :

    « Ma p’tite chérie, que tu le veuilles ou non, tu vas la recevoir maintenant. Tu as voulu jouer au chat et à la souris et tu as perdu, enfin non pas vraiment. Car tu as gagné une très bonne fessée. Alors que sur l’instant où j’ai découvert ton chantier inacceptable, j’étais décidée à te gronder très fort avec quelques bonnes claquées par-dessus ton jean. Mais ton comportement de fillette fuyant, par peur de représailles de Maman, devant ce foutoir m’a paru comme insupportable. Cela m’a fait penser qu’une gronderie, ne serait pas suffisante. C’est pourquoi je t’ai laissée partir et m’a décidé à te donner ce que tu mérites, à ton retour. Par conséquent, dans quelques minutes ce n’est pas aux cheveux que tu auras mal, mais ailleurs et pour un bon moment. »

    Ma fille comprends aussitôt qu’elle va se prendre une grosse volée, ayant vu la brosse de bains sur la table basse lui foutant une trouille bleue. Y ayant goûté pour la première fois, quelques mois plus tôt en compagnie de sa copine Nadège, qui elle découvrait le martinet de sa mère. Pour l’histoire du chapardage de maquillage. Elle a donc très peur, que j’utilise uniquement cette brosse, du fait de sa récidive et me le fait savoir.

    Nolwen :

    « M’man, j’t’en supplie ! Pas la brosse ! J’vais pas le supporter et j’vais m’évanouir ! Pitié, M’mannnn… »

    Moi :

    « Soit tranquille, ma chérie, je t’ai promis une très bonne fessée à la place du sermon prévu. Puisque tu as récidivé sur le principe de la fuite, comme tes sœurs et ceci avant même que j’ouvre la bouche. Rassure-toi, tu ne vas pas t’évanouir. Tu auras juste très mal aux fesses, qui seront en feu au final. Mais c’est le lot des gamines qui pensent échapper à la punition, pour leurs erreurs ! »

    Sachant, par expérience avec Maman, que si les effets de la brosse sont déjà bien rudes, après une bonne fessée manuelle. Son application directe sur un fessier blanc et frais, est quasiment insupportable. Ma sœur et moi, y avions eu droit quelques fois avec notre chère mère et parfois sur un popotin humide, au sortir d’une douche. Là c’était l’horreur absolue, imaginant qu’elle nous arrachait la peau des fesses et qu’on allait mourir.

    J’ai donc une autre idée en tête pour la trempe que mérite ma fille : une alternance entre ma main et la brosse. Certes finalement, elle aura un fessier écarlate et douloureux, mais sans blessure, la seule séquelle étant qu’elle devra s’asseoir avec précaution tant à la maison, qu’au collège durant un ou deux jours.

    Une fois assise sur le canapé, je la plante devant moi et m’attaque au bouton du jean, ainsi qu’à la fermeture éclair. Dans un réflexe naturel, elle pose ses mains sur les miennes et m’implore de façon déchirante.

    Nolwen :

    « Nonnnnn ! Nonnnnn ! M’mannnn ! Passss déculottéeeeee… j’ten supllieeeeee ! Promisssss…j’le f’rais plussss ! Maisssss…passss…à nuuuuuu… Ça va m’faire trop mallllll et j’vais mourir…pitiéeeee ! »

    A cet instant, elle pense encore que je vais utiliser directement la brosse et ça lui fout vraiment les chocottes, surtout sur ses fesses nues, immaculées. Mais je ne peux pas changer la règle fondamentale qu’une bonne fessée, c’est cul-nu. Toute en restant évasive.

    Moi :

    « Allons ma chérie, dis-moi, ais-je par habitude de vous donner la fessée que vous méritez, par-dessus vos vêtements ? »

    Nolwen :

    « Nonnnn ! Bien sûr, M’mannnn ! Mais là, je crains horriblement pour mes fesses, qui ne vont pas l’supporter ! Tu comprends ! »

    Moi :

    « Rassure-toi, ma belle, tes fesses vont parfaitement supporter, la très bonne fessée que je t’ai promise. Elle te fera juste, beaucoup plus mal que d’habitude, mais tu n’en mourras pas. Alors retire tes mains. »

    Ma fille obéi et fond en larmes s’imaginant le pire, pour son bas du dos. Je reprends alors tranquillement mon effeuillage insérant mes doigts sous la ceinture du jean moulant donc je dois faire le tour complet, pour le crocheter et passer le rebondi fessier de ma fille (pré-ado), qui a évolué par rapport à celui de ses sœurs. Une fois descendu aux chevilles, je remonte mes mains effleurant ses cuisses et je la sens trembler comme une feuille, sachant que je vais faire suivre le même chemin à sa p’tite culotte et me le fait savoir.

    Nolwen :

    « Nonnnnnn ! Nonnnnnn ! M’mannnnn ! Pas la culotteeeee…. J’t’en supplieeeee…. J’ai honteeee… et j’ai peur… ! »

    Je réponds avec une certaine ironie et entame mon sermon qui augmente, son angoisse. Je le sais, sa chère grand-mère pratiquait la même chose avec sa Tante et moi.

    Moi :

    « Bien sûr que si, ma chérie, je vais baisser ta culotte. Avec Tata ou moi, c’est la même chose, la fessée c’est cul-nu. Que tu ais peur, je le comprends, mais c’est le sort réservé aux gamines qui fuit leur responsabilité. Tout à l’heure lorsque je t’ai appelé pour que tu ranges ton chantier, arrivée sur le seuil de ta chambre, tu as aussitôt pensé que tu allais recevoir une fessée, compte tenu de tes précédents. Alors tu t’es sauvée comme une voleuse et ça je n’apprécie pas du tout. Surtout de ta part qui à 12 ans persiste à utiliser ce stratagème de fillette pensant pourvoir ainsi échapper à la punition de Maman que tu redoutes, tout comme tes p’tites sœurs !

    Alors si avant je te courais après pour te rattraper, comme je le fais avec tes sœurs, qui sont encore de p’tites crevettes. Avec toi c’est fini, car plus difficile du fait de ton développement de pré-ado. J’ai donc décidé d’adopter une autre stratégie, attendant patiemment que tu reviennes par la seule issue possible, ayant bloqué les autres échappatoires que tu utilises d’habitude, pour te faufiler et faire tomber ma colère. Echappant ainsi à la fessée que tu mérites. Malheureusement pour toi aujourd’hui, tu viens de découvrir que Maman n’est pas une cruche et qu’elle aussi a de l’astuce. »

    Ma fille est bouche bée et pleurniche toujours…

    A suivre…

  • Triple fessée pour Coralie (2)

    Par Chloé :

    Ne répondant pas, je fais basculer la gamine sur mon giron, retrousse le bas de la robe et lui administre une bonne dégelée cuisante assez courte devant les autres, pensant que Christiane va lui en remettre une seconde couche beaucoup plus carabinée ce soir, pour son comportement envers la Maîtresse et connaissant mon amie, je sais qu’elle ne fera pas dans la dentelle. Je remets Coralie sur pieds et reprend la parole, avant de l’envoyer au coin.

    Moi :

    « Voilà, ma chérie, Tata Chloé t’a donné la fessée déculottée que tu méritais devant les autres, pour l’avoir contrarié. Et tu peux t’estimer chanceuse, car si c’était Maman qui soit venue te chercher, tu aurais eu droit à une fessée beaucoup plus difficile devant l’école !!! »

    Ce que je ne sais pas encore à ce moment-là, ni la gamine non plus est qu’elle va avoir droit à une surprise cuisante par sa grande sœur de 18 ans, venant récupérer ses demi-sœurs. En arrivant, Vanessa me retranscrit la demande de sa mère, pour Coralie, qui a contrarié Tata Chloé.

    Vanessa :

    « Chloé ! Maman m’a demandé d’administrer une sérieuse fessée à Coralie, pour t’avoir mise dans l’embarras. Car elle se doute que tu as dû lui filer une dégelée assez courte et pas très sévère, après t’avoir dit qu’elle règlerait le problème scolaire avec Coralie, ce soir. Alors c’est ce que je vais faire, sinon Maman m’en collera une pour ne pas lui avoir obéi et je n’y tiens pas vraiment. »

    Sans préambule, Vanessa prend une chaise et Coralie par l’oreille, puis la bascule au travers de ses genoux. La gamine exprime alors son désaccord.

    Coralie :

    « Nonnnn ! Nonnnn ! Vaness !!! Pas encore la fessée, Tata Chloé m’en a déjà donné une !!! J’veux passs…S’te plaît !!! »

    Sa grande sœur ne tient aucun compte de sa supplique, retrousse la robe et baisse sa culotte devant tout le monde, avant de lui répondre avec un brin d’ironie.

    Vanessa :

    « Que tu le veuilles ou non, c’est comme ça sœurette et pas autrement ! Je vais te donner la bonne fessée que tu mérites, pour avoir mis dans l’embarras Tata Chloé ! D’autant qu’à voir la coloration de tes p’tites fesses, je crois que Maman ne s’est pas trompée, Tata s’est montrée plutôt clémente, avec toi ! Ce qui ne sera pas mon cas, fais-moi confiance ! Tant qu’à ton attitude inacceptable envers Mme Leveque, c’est Maman qui règlera le problème ce soir avec toi, alors prépares bien tes fesses, à commencer par moi. »

    Sans attendre de réponse, Vanessa, entame une fessée plus dure que la mienne, car j’ai en effet modéré ma dégelée. Ce qui n’est pas le cas de sa grande sœur qui déverse sur son popotin une grêle de claques énergiques, au centre de celui-ci qui font aussitôt crier Coralie. Puis faisant une pause, Vanessa reprend de plus belle arrosant cette fois chaque hémisphère qui rougissent à vue d’œil. Pas de doute, cette grande fille de 18 ans, a bien retenu les leçons de sa mère et moi.

    Comme on dit, pour bien donner, il faut avoir reçu et dans le cas présent, Vanessa se montre une excellente élève en la matière, au grand dam des fesses de sa p’tite sœur qui s’étiole de plus en plus, avant de s’effondrer sur le giron de sa sœur aînée après une dernière salve tonitruante, la faisant hurler.

    La gamine a reçu une copieuse fessée de sa sœur qui n’a pas fait semblant, avant d’en recevoir une autre de sa mère au coucher. Je me dis que la mouflette va dormir sur le ventre, sans pyjama ni couette, connaissant les talents de mon amie Christiane. Vanessa la remet sur pied, la laissant sautiller sur place en lui prenant les deux mains et lui dit.

    Vanessa :

    « Voilà, p’tite sœur, je t’ai donné la fessée que tu méritais pour avoir ennuyé Tata Chloé et selon la demande de Maman. Maintenant pour la suite ce sera avec elle que tu devras voir ça, mais j’ai le sentiment que cela ne sera pas facile pour tes p’tites fesses, j’en suis persuadée !! »

    La mouflette est incapable de répondre, le visage noyé par les larmes en pensant déjà à ce qui l’attend et repart avec une paire de fesses bouillante et douloureuse, sans sa p’tite culotte que son aînée a fourré dans la besace.

    Le lendemain matin, Vanessa ramène sa p’tite sœur et une petite conversation s’installe entre elle et moi.

    Vanessa :

    « Bonjour Chloé. Je te dépose Coralie, Louise n’a cours qu’à 10h au collège. »

    Moi :

    « Bonjour Vanessa ! Dis-moi, Maman n’a pas été trop dure avec Coralie ? »

    Vanessa :

    « Oh que si, Chloé ! Maman a donné à Coralie une magistrale et copieuse fessée déculottée sous nos yeux pour l’exemple. Celle-ci a été longue et très douloureuse pour elle, sans aucun doute. Au final, ma p’tite sœur avait les fesses écarlates, presque cramoisies, pour aller au lit, c’est moi qu’il l’ai aidé à monter se coucher. J’avais mal pour elle vu l’état de son derrière, je crois qu’à ce jour, c’est la plus terrible raclée de sa jeune vie que lui ai donné Maman, depuis qu’elles sont chez nous. Comme Louise, il y a quelques semaines pour une insolence et une grosse colère, pour avoir un smartphone! Je te promets que Maman n’a pas fait dans la dentelle, encore hier soir et que Coralie aura bien des difficultés à s’asseoir à l’école. »

    Moi :

    « C’est dommage pour Coralie, mais bon c’était mérité. Je pense donc que tes sœurs vont se tenir tranquille durant un certain temps. »

    Vanessa :

    « Oui, Chloé ! Je le souhaite pour elles et surtout pour leurs fesses ! Mais on ne sait jamais. »

    Fin.

  • Triple fessée pour Coralie (1)

    Par Chloé :

    Journée très cuisante pour Coralie, belle-fille de Christiane.

    Un lundi de juin dernier, allant chercher les mouflettes (filles de mes amies) à l’école primaire, je suis interpellée par la Maîtresse (et Directrice) de Coralie (10 ans). Mme Leveque qui me connaît fort bien et me dit en aparté, que la gamine s’est montrée grossière et injurieuse envers elle.

    Mme Leveque :

    « Bonjour Mme Demaître, excusez-moi de vous déranger, je veux juste vous signaler que Coralie m’a surprise avec un comportement inhabituel chez elle, se montrant grossière et injurieuse, suite à une remontrance de ma part sur son indiscipline qui perturbait la leçon, en amusant la galerie. Comme vous pouvez vous en douter, je l’ai punie en lui donnant des lignes à copier durant la récréation. Néanmoins je pense qu’il serait souhaitable que ses parents en soient informés. Je n’ai pas mis de mot dans le carnet et vous laisse le soin de les avertir, connaissant vos liens avec eux. »

    Même si je connais bien le tempérament frondeur de la gamine, sujette à de fréquentes insolences ou des p’tites colères, son attitude vis-à-vis de Mme Leveque (excellente Maîtresse) me laisse sur le cul, comme elle.

    Moi :

    « Mme Leveque, je suis aussi surprise que vous, même si je connais bien son caractère impétueux. C’est la première fois qu’elle va aussi loin dans l’insolence. Que vous l’ayez puni est tout à fait normal. Je vous remercie de me faire confiance pour informer les parents, j’en connais d’ailleurs une qui ne sera pas contente du tout et qui va le faire savoir de façon cuisante, à la demoiselle, si vous voyez ce que je veux dire. »

    Mme Leveque :

    « Tout à fait, Mme Demaître. Et je suis certaine que cela fera le plus grand bien à Coralie, pour ne pas renouveler ce genre d’attitude inacceptable envers une adulte. Au revoir et merci Mme Demaître, vous avez toute ma confiance. »

    Sur le chemin du retour, je repense à cette interpellation de la Directrice, genre de chose que je déteste et réfléchis sur la position qu’aurait tenu Christiane dans la même situation. Je décide donc de l’appeler.

    Moi :

    « Bonjour Christiane, je ne te dérange pas ? »

    Christiane :

    « Bien sûr que non, Chloé. Tu as quelque chose à me dire ? »

    Moi :

    « Oui et pas forcément plaisante. »

    Christiane :

    « Oh là, tu m’inquiètes, Chloé ? »

    Moi :

    « Non, non, rassures toi !!! Il n’y a rien de dramatique, juste un incident désagréable et peu commun de la part de Coralie. »

    Là, Christiane monte dans les tours, connaissant parfaitement les facéties de la gamine.

    Christiane :

    « Qu’a t-elle encore fait cette petite chipie ? »

    Moi :

    « Ne t’affole pas Christiane ! Disons qu’elle s’est comportée de manière inattendue en amusant la galerie et légèrement irrespectueuse de sa part, envers Mme Leveque qui lui en faisait la remarque ! Elle m’a donc interpellé, à la sortie de l’école, me précisant qu’elle l’avait privé de récréation pour copier des lignes et m’a chargé de vous informer, Roland et toi. Voilà c’est tout. »

    Christiane :

    « C’est tout !!!! Non mais Chloé !!!! Tu te moques de moi, c’est inadmissible ce qu’elle a fait, j’espère au moins que tu lui as filé une bonne fessée déculottée devant l’école. Pour t’avoir mise dans l’embarras. »

    Moi :

    « Non, Christiane, comme tu le sais, je ne le fais plus ! A cause de certaines enseignantes qui s’en délectent et qui choque les parents laxistes, se référant au concept de ‘Françoise Dolto’ sur ‘l’enfant Roi’. »

    Christiane :

    « D’accord, Chloé ! Mais nous on s’en fiche alors promets moi de lui en coller une sévère, quand vous serez rentré à la maison. Elle aura droit à la mienne ce soir, au coucher pour le problème scolaire ! »

    Moi :

    « Je te le promets, Christiane, c’était dans mes intentions, car je n’apprécie pas d’être interpellée de la sorte. Mais comprend que j’avais besoin de ton avis, les problèmes scolaires étant l’affaire des parents. »

    Christiane :

    « Je sais, Chloé ! Mais là, c’est toi que la Maîtresse a interpellé à cause de son comportement, ce que tu n’aimes pas comme moi. Donc cela mérite une bonne fessée, alors je compte sur toi !!!! »

    Moi :

    « Tu as raison, Christiane, je vais faire cela et devant les autres, pour l’exemple. A plus tard, bisous. »

    Là, je sais que la gamine n’a perçu que mes réponses, mais certaines sont assez claires pour son avenir proche. Une fois à la maison, tout le monde (un peu chamboulé) goûte et fait ses devoirs, dans un silence de cathédrale. Après cela j’invite Coralie à me rejoindre devant moi assise sur mon fauteuil, les autres mouflets (tes) installés sur le canapé. Je lui retranscris alors la conversation avec sa « belle-mère », qui l’élève à présent, tout en passant mes mains sous sa robe pour attraper l’élastique de la culotte. Bien entendu, Coralie a compris que je m’apprête à lui donner une fessée déculottée selon le souhait de Christiane. Alors je lui explique, le pourquoi du comment.

    Moi :

    « Coralie, je vais te punir pour le fait que j’ai été interpellé par ta Maîtresse pour me signaler tes turpitudes en classe sans mettre de mot dans ton carnet et me laissant le soin d’en informer Maman/Papa, ce que je viens de faire avec Maman. Or, comme tous les autres ici présents, tu sais qu’il me déplait fortement de faire l’objet d’une interpellation de vos Maîtresses. Ton comportement inacceptable envers Mme Leveque, c’est Maman Christiane qui le règlera ce soir avec toi. »

    Coralie :

    « Nonnnn ! Nonnnn ! Tata Chloé ! Pas la fessée cul nu d’vant les autres ! J’ten supplie…Tata !! Nonnnnnn ! Nonnnnnn ! Tata, pitiéeeee…j’te d’mande pardon… »

    A suivre…

  • Fessée par la mère, de mon p’tit flirt et une seconde par Maman (2)

    Par Chloé :

    La conclusion est simple, celle-ci a la ferme intention de m’administrer la même chose, assistant à la fessée de Didier, je pensais que lui seul serait puni et pas moi. La surprise n’en est que plus grande, lorsqu’elle me fait signe de l’index. La position de second(e) est moins enviable, témoin involontaire de la fessée de l’autre et de ce qui vous attend, à cet instant.

    Cette deuxième position j’en ai l’habitude avec Maman en passant après ma sœurette et l’angoisse est la même. Après l’espoir d’un éventuel manque d’énergie, je n’y crois pas vraiment, le bras et la main étant échauffés et ce qui va être le cas avec la mère de Didier. D’autant que celle-ci ajoute, avec la même ironie.

    La Maman :

    « Attention, ma chérie ! Comme je l’ai dit à Didier, je déteste attendre et c’est un mauvais calcul pour les p’tites fesses, car dans ce cas-là je me montre beaucoup plus généreuse. Aller ma cocotte, approche gentiment, j’imagine connaissant ta Maman, que ce n’est pas la première fois et que tu as reçu plus d’une fessée déculottée, de sa part durant ta jeune vie, comme mon fils et sa p’tite sœur de 9 ans ! »

    Evidemment, elle a raison, j’en reçois même très fréquemment, depuis l’âge de 5 ans ½. Sauf que je n’ai aucune envie d’approcher pour recevoir cette copieuse fessée comme Didier. Surtout qu’en y réfléchissant, si par hasard Maman vient à apprendre cet incident, je suis bonne pour une deuxième tournée de sa part. A cet instant, je ne sais pas bien sûr que cela va se produire, 1 heure plus tard.

    Ça me triture l’estomac, mais je n’ai pas le choix, il me faut avancer. Résignée, tel un automate j’approche sans précipitation fixant ses cuisses qui n’attendent que moi.

    Arrivée à moins d’1m50, elle tend le bras, attrape mon poignet, me tire d’un coup sec et me jette au travers de son giron. Bizarrement, elle ne m’a pas déculotté avant comme Didier et dans ma p’tite tête de linotte, j’imagine bêtement qu’elle va m’épargner cette ultime honte. Que nenni ! Celle-ci me calant correctement reprend la parole, toujours avec ironie.

    La Maman :

    « Oh, là, là !!! Petite Bretonne pur jus qui tente de retarder au maximum, l’instant de la punition ! Comme tu le vois, cela ne me dérange pas et maintenant que tu es en bonne position, je vais pouvoir passer aux choses sérieuses en dévoilant ce joli joufflu rebondi qui se cache sous le short et la culotte ! »

    Joignant les gestes à ses paroles, je sens ses doigts s’immiscer sous l’élastique du short et le baisse tranquillement jusqu’aux genoux, ce qui me mortifie déjà, puis ramenant sa main elle fait suivre le même chemin à ma p’tite culotte. Ça y est, plus aucun rempart entre sa main et mes fesses nues ! Bien entendu, cela déclenche chez moi un refus et une supplique aussi inutiles que vain.

    Moi :

    « Nonnn !!! Nonnn !!! M’dame !!! Pas la fessée à nu, ça fait trop mal, j’vous en supplie !!! J’ai trop honte !!! »

    La Maman :

    « Eh bien, ma bichette, tu confirmes mes propos concernant les bonnes grâces de ta Maman à ton égard et comme je l’ai dit à Didier la fessée c’est cul nu, pas autrement ! Et puis pourquoi t’accorder une faveur, que je lui ai refusé ? Vous êtes tous les deux dans le même bateau, jouant à une découverte qui n’est pas encore de votre âge ! Par conséquent, bêtise ensemble égale punition identique. Donc à savoir, une bonne fessée déculottée pour chacun, comme ça pas de jaloux ! Aller je ne vais pas te faire languir davantage ! »

    Aussitôt la valse démarre et me fait pousser des cris que je te tente de retenir, pour atténuer la douleur des impacts à mon esprit et ce sentiment de honte. Mais c’est impossible.

    Moi :

    « Ouille ! Ouille ! Ouille ! Aie ! Aie ! Aie ! Stop ! »

    Elle sait y faire pour rougir des p’tites fesses nues, comme Maman, sa main est redoutable ! J’ai beau m’égosiller et la supplier d’arrêter, rien n’y fait, elle n’a rien perdu de son énergie après avoir corrigé son fils.

    Je comprends pourquoi Didier était si expressif, sa mère est une experte en la matière, comme la mienne. Lorsqu’elles ont un popotin nu à leur disposition, elles ne font pas dans la dentelle.

    Une fois relevée, elle m’envoie au coin en compagnie de son fils, tous deux les fesses à l’air, le visage noyé par les larmes. Nous sommes comme deux benêts mains sur la tête, les fesses bouillantes que l’on ne peut frotter pour en atténuer la cuisson ! Néanmoins on se sent moins seuls, à deux.

    Pendant ce temps elle appelle Maman, pour lui faire part de l’incident et des conséquences pour nos fesses, avant de me renvoyer chez moi ! Là c’est l’horreur pour ma p’tite personne, me préparant mentalement à une deuxième tournée maternelle carabinée dès mon retour.

    Celle-ci va être encore plus insupportable, mon popotin étant très sensible et encore coloré, Maman avec son ironie habituelle m’en fait la remarque après m’avoir étalé sur son giron, déculottée et posé sa main sur celui-ci.

    Maman :

    « Oh, mais ma chérie ! Je constate que la maman de Didier t’a bien soigné, tes p’tites fesses sont d’un joli rose fuchsia. Eh bien, Maman chérie, va compléter le travail pour que celles-ci reprennent la coloration qui convient aux fillettes dévergondées ! Alors prépare-toi, ma belle, parce que je vais m’appliquer ! »

    Ceci soulève aussitôt, des suppliques larmoyantes de ma part sans effet sur ma chère mère, qui m’administre une magistrale fessée interminable, claquant copieusement mes p’tites fesses. Me faisant hurler de douleur et pleurer toutes les larmes de mon corps. Une fois relevée je sautille sur place, en agitant les bras sans oser toucher mon derrière archi cuit, Maman ne m’a pas raté.

    Le lendemain, Didier m’appris qu’il avait eu droit à la ceinture de son père, à son retour du travail. Les deux tourtereaux étaient unis pour le batifolage mais également pour la double punition.

    Il est vrai que mes fesses ont eu moins de répit, que celles de Didier qui dû attendre le retour de son père, dans sa chambre le fessier à l’air sa maman lui ayant confisqué short et slip. Cette attente étant très angoissante pour lui, alors que pour moi ce fût plus bref, juste le temps du retour au bercail pour offrir mes fesses à Maman qui m’attendait de pied ferme.

    Fin

  • Fessée par la mère, de mon p’tit flirt et une seconde par Maman (1)

    Par Chloé :

    Un souvenir marquant de pré-ado m’est revenu, grâce à un discussion avec un ami me racontant qu’un jour de vacances d’été à l’âge de 15 ans, il avait reçu une fessée déculottée chez une copine par sa mère, pour avoir fouillé dans le tiroir de lingeries de celle-ci. Mon ami assista d’abord à la fessée de sa copine (même âge) avant de subir le même sort, juste après elle, le surprenant totalement ! Même si sa Tante chez qui il passait ses vacances, n’hésitait pas à le punir de cette façon, pour ses retards récurrents. Me précisant que cette dernière informée de l’incident quelques jours plus tard, lui en administra une seconde.

    J’ai donc vécu une situation similaire à l’âge 12 ans ½. Chez l’un de mes premiers flirts (13 ans), tous les deux se faisant copieusement fesser par sa mère, nous surprenant dans une situation légèrement équivoque pour notre âge dans sa chambre ou nous étions censés travailler un devoir de moralité, sur les rapports humains. Disons que nous sommes passés de la théorie à la pratique, en découvrant nos différences (fille/garçon) accompagné de p’tits bisous lèvres contre lèvres !

    En fait, j’avais un physique quasi identique à celui de ‘Sophie Marceau‘ dans le film ‘La boum‘ et paraissait donc plus âgée que mes 12 ans ½. Suscitant bien entendu le regard des garçons, en comparaison à mon physique de sportive déjà bien grande, ce p’tit copain ‘Didier‘ de 13 ans faisait poupon et pouvait presque passer pour mon p’tit frère ! Il était aussi blond que moi je suis brune et il était adorable, j’avais donc beaucoup d’ascendant sur lui.

    Ce que sa Maman n’a pas apprécié, ni la mienne qui m’en a mis une deuxième carabinée à mon retour au bercail. Ayant été informé de l’incident par la mère de mon p’tit copain et des conséquences pour nos fesses. Cette double fessée m’a marqué, d’abord celle de sa mère à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Puis la seconde de Maman même si j’en prends régulièrement avec elle. Mais ce jour-là, j‘allais être totalement surprise, une étrangère me déculottant et me fessant copieusement.

    La Maman :

    « Qu’est que c’est que cette tenue à votre âge ? Que vous vous fassiez des p’tits bisous sur la joue, je veux bien l’admettre, mais là vous dépassez la mesure ! Par conséquent, je vais te montrer ce que je pense d’un vilain p’tit coquin un peu trop curieux ! »

    Didier soumis au même régime que moi avec ses parents, a bien compris les intentions de celle-ci (alors que moi je m’interroge, ce n’est pas ma mère) et il la supplie.

    Didier :

    « Oh non, M’man ! Tu ne vas pas faire ça ? J’t’en supplie ! Pas d’vant Chloé ? »

    La Maman :

    « Bien sûr que si, mon trésor et je vais te servir de suite sous ses yeux ! Comme ça, elle comprendra qu’il y a certaines choses, avec lesquelles je ne plaisante pas ! Aller mon garçon, approche de Maman chérie s’il te plaît et sans discuter ! »

    Je suis abasourdie par ses paroles et n’en croit pas mes oreilles, elle va punir Didier sous mes yeux ! Le dialogue Mère/Fils, me faisant comprendre que la punition prévue est une fessée ! J’imagine alors bêtement qu’elle va laisser le dernier rempart de pudeur à mon p’tit chéri, du fait que nous portons des shorts d’été très courts dévoilant la naissance de nos fesses ! Quelle bécasse je suis !!!

    Didier s’approche à petits pas de sa mère, avec des larmes aux yeux, qui lui demande de s’activer en haussant le ton. Sauf que dans ce cas-là on n’est jamais trop pressé, d’avancer.

    La Maman :

    « Aller, Didier, inutile de jouer la montre mon trésor, tu sais que cela à le don de m’exaspérer et qu’il en coûte plus cher à tes fesses ! Alors active toi, sinon ça va vraiment barder pour ton matricule ! »

    Une fois près d’elle, les choses vont s’enchaîner et anéantir mon fol espoir. La maman portant ses mains à hauteur des élastiques, ses doigts s’immiscent dessous afin de baisser l’ensemble, ce qui fait réagir Didier qui pose ses mains sur celles de sa mère et la supplie, en pleurnichant.

    Didier :

    « Nonnn ! Nonnnn, M’man ! Bouhouhou ! Pas ça devant Chloé, j’t’en supplie ! Bouhouhou, j’ai trop honte !!! »

    La Maman :

    « Bien sûr que si, mon chéri, tu le sais parfaitement la fessée c’est cul nu, tant pis pour toi ! Il fallait réfléchir avant de jouer les p’tits coqs ! Alors tu retires tes mains et vite ! »

    Là je suis comme deux ronds de flan, cette femme à le même principe que Maman, la fessée c’est cul nu ! Alors là je commence à compatir pour Didier, car sa Maman semble très déterminée et ma compassion va augmenter en assistant à la fessée de celui-ci.

    Une fois en bonne position bien calé, la main de la mère entre action sur les fesses de son fils qu’elle ne ménage pas, il est sous un déluge de claques, se tortille comme un ver, pensant échapper à celles-ci. Sauf qu’il est bien maintenu par sa mère qui fait des changements de rythme, faisant brailler sans retenue Didier. Après une pause permettant à ce dernier d’implorer l’arrêt des hostilités en vain. Celle-ci repart de plus belle sur un rythme métronomique sur chaque hémisphère et le haut des cuisses. Didier est aux abois, n’émettant qu’une longue plainte ininterrompue, puis il s’affale sur les cuisses de sa mère qui lui sert alors le bouquet final. Sous la forme d’une dégelée tonitruante, faisant se cabrer et hurler Didier, ses fesses sont écarlates.

    Le relevant et l’écartant sur sa gauche, sa mère me regarde avec insistance, ce qui m’angoisse et me dit sur un ton maternel et ironique.

    La Maman :

    « Aller, ma p’tite poulette, c’est à ton tour ! Vous avez commis la bêtise ensemble, donc la punition doit être collégiale ! Alors approche, ma belle, je pense que tu as profité de la fessée de ton p’tit flirt et bien à lui maintenant de profiter de la tienne ! Comme ça, pas de jalousie entre vous ! »

    A suivre…

  • Troisième fessée pour Mélanie, donnée par sa Maman.

    Par Chloé :

    Mme le Guennec, Natalia et moi reprenons la conversation, tandis que Mélanie, au coin, digère tant bien que mal cette seconde fessée avant de recevoir la troisième que lui a promis sa maman qui, cette fois est bien déterminée à s’occuper des fesses de sa gamine pour cet écart inadmissible envers Natalia. 

    J’ai comme le sentiment que Mélanie va passer un sale ¼ d’heure sur les genoux maternels et constater que sa férule est très efficace pour rougir son p’tit derrière nu, celle-ci étant remontée comme une horloge vis-à-vis de sa fille.

    Mme Le Guennec :

    « Bravo, Mme Demaitre pour cette magistrale fessée que vous lui avez donnée, elle l’a bien cherchée et amplement méritée pour avoir offensé sa professeure de danse et je vous présente mes excuses concernant Mélanie qui a eu un comportement impardonnable envers une personne adulte, à son âge.

    Croyez-moi que j’ai la ferme intention de lui faire comprendre le message et tant pis pour elle si elle doit remonter dans la voiture, les fesses brûlantes et douloureuses, ce qui lui fera les pieds comme le disait ma maman au même âge. »

    Moi :

    « Merci Mme le Guennec pour le compliment.  Nous acceptons vos excuses bien évidemment. Néanmoins, je pense qu’il appartient surtout à Mélanie de demander sincèrement pardon à Natalia pour la faute qu’elle a commise. »

    Mme Le Guennec :

    « Bien entendu Mme Demaitre ! C’est ce qu’elle fera après que je me sois occupée sérieusement de ses fesses de vilaine fillette grossière. Je suis certaine qu’elle se souviendra longtemps de cette première fessée déculottée de sa maman »

    Moi :

    « Je n’en doute absolument pas Mme le Guennec et partage votre courroux, malgré tout ne perdez pas de vue que Mélanie en a déjà reçu une bonne de ma part. Que vous souhaitiez la punir vous-même est louable et sachez que Natalia l’aurait volontiers corrigée si elle en avait eu l’autorisation »

    Mme Le Guennec :

    « Soyez tranquille Mme Demaitre, j’ai bien conscience que ma fille a déjà reçu une bonne fessée de votre part, mais en tant que maman responsable, comme vous me l’avez fait comprendre, je me dois de montrer à Mélanie qui commande et qu’elle doit respecter les adultes. Je me doute bien que Natalia, également mère de famille aurait certainement voulu la fesser séance tenante si elle en avait eu le pouvoir. Et à ce sujet, je l’autorise à punir Mélanie si elle dérape à nouveau. »

    Moi :

    « C’est parfait Mme le Guennec, j’en prends bonne note, mais si cela devait se reproduire, sachez que Natalia viendrait alors dans mon bureau accompagné de votre fille pour s’occuper d’elle en présence de mon assistante Sylvie que vous connaissez bien. Car, comprenez bien qu’en tant que responsable du club, il m’est interdit de délivrer ce pouvoir de punition à l’ensemble de mes collaborateurs (trices), sous peine de poursuites pour le club et moi-même, puis certains ou certaines personnes n’hésiteraient pas à en abuser pour des peccadilles. »

    Mme Le Guennec :

    « Je comprends parfaitement votre position Mme Demaitre, mais je vous réitère mon accord concernant Natalia pour punir Mélanie, cela calmera sans aucun doute ses ardeurs à provoquer les adultes et d’avoir plusieurs épées de Damoclès au-dessus de ses fesses. »

    Là, je me rends compte que cette jeune maman est parfaitement équilibrée et à même de reprendre l’éducation de sa fille dans le bon sens, malgré sa déception envers l’attitude délétère de son époux, abandonnant en quelque sorte le foyer familial sur un coup de tête. 

    Cela fait plus d’un ¼ d’heure que Mélanie est au coin attendant mon bon vouloir pour la libérer de sa pénitence, ce que je fais.

    Moi :

    « Mélanie, tu peux sortir du coin et venir nous rejoindre s’il te plaît ! »

    La mouflette s’exécute en gardant ses mains sur la tête et s’approche de nous, se présentant devant moi.

    Je l’interroge et lui reformule les propos de sa maman.

    Moi :

    « Alors Mélanie, cette fessée et le petit séjour passé au coin t’ont-ils permis de réfléchir à la faute impardonnable vis à vis de Natalia ? »

    La gamine pleurniche et me répond avec des trémolos dans la voix.

    Mélanie :

    « Voui ! Voui ! M’dame Demaitre, je suis désolée et je d’mande pardon à Natalia. J’voulais pas être méchante ! »

    Moi :

    « D’accord ma puce ! Néanmoins tu l’as fait et en plus d’avoir contrarié Natalia, tu as mis en colère ta Maman à cause de ton manque de respect envers une adulte. Et comme tu l’as bien compris, je suppose, celle-ci va te donner à son tour une fessée et te faire comprendre qu’il ne faut pas renouveler ce genre d’attitude. »

    Là, la gamine panique et supplie sa mère à corps et à cris.

    Mélanie :

    « Nonnnn !!! Nonnnn !!! M’man, pas une autre fessée !!! J’t’en supplie, j’veux pas, j’vais pas supporter et j’vais mourir pitié M’man !!! »

    Mme le Guennec qui affiche un regard noir envers se fille reste impassible aux supplications, empruntes de trouille de Mélanie et lui répond par un sermon plutôt tranchant et ironique avec des précisions pour le moins néfastes pour l’avenir de sa gamine.

    Mme Le Guennec :

    « Mais bien sûr que si ma petite cocotte ! Tu vas recevoir la première fessée déculottée de ta vie, par Maman chérie qui ne t’a jamais corrigée auparavant et le regrette amèrement. Cela aurait sans doute amélioré ton comportement inacceptable avec moi ainsi que les adultes en général, aujourd’hui ! »

    Poursuivant, elle ajoute.

    Mme Le Guennec :

    « Sache que je suis très satisfaite que Mme Demaitre t’ait donnée cette fessée amplement méritée pour réparer l’offense envers Natalia et je vois qu’elle a bien rougi tes petites fesses de vilaine fillette injurieuse !

    Maintenant, en tant que maman responsable, je me dois de te punir comme tu le mérites pour chaque faute commise et celle-ci est énorme. Mais également pour le fait que je passe pour une idiote, ne sachant pas élever correctement sa fille. Alors dis-toi bien qu’à compter de ce jour, ce temps est révolu et que tes fesses nues subiront les conséquences de toutes ces incartades inadmissibles pour une fillette de 9 ans 1/2 et je te précise que j’ai donné l’autorisation à Natalia pour te corriger si c’est nécessaire !

    Maintenant, tu viens ici, tout de suite, sans regimber. Tant pis pour toi si le siège de la voiture te rappelle ces 2 fessées. Ça te fera les pieds comme dit ta grand-mère. Aller hop ! Sur mes genoux. Exécution ! »

    C’est la première fois que je vois Mme le Guennec aussi déterminée, en haussant le ton sur sa dernière phrase ce qui confirme ma pensée, à savoir que Mélanie va passer un sale ¼ d’heure sur les genoux de sa Maman.

    Et les choses ne trainent pas, choppant le poignet de sa fille qui s’est avancée vers elle à petits pas (emplie par une trouille immense et pleurante), elle la bascule sur son giron et là, une volée de bois verts s’abat sur les fesses nues de la mouflette, la faisant hurler immédiatement de douleur et déverser des torrents de larmes. 

    J’avoue que je suis à cet instant quelque peu inquiète pour Mélanie qui est sous un déluge de claquées, ne souhaitant pas que sa maman la laisse sur le carreau.

    Mais je me trompe. Après une dernière salve plus rapide Mme le Guennec garde sa fille secouée de soubresauts sur ses genoux avant de la relever et lui intimer l’ordre d’aller présenter humblement ses excuses à Natalia. 

    La gamine, s’est prise une bonne rouste de sa mère après la mienne. Ses fesses sont écarlates, sa mère ne l’a pas raté. Elle s’exécute en pleurnichant et balbutie, entre 2 sanglots.

    Mélanie :

    « Bouhouhou…Natalia…pardonnnn…bouhouhou !!! J’le feraiss…plus…promis !!! Tu m’pardonneeee…bouhouhou !!! »

    Natalia :

    « Je te pardonne ma puce. Mais ne recommence jamais ça, sinon la prochaine fois c’est peut-être moi qui te donnerai la fessée… Alors maintenant tu sais ce qui t’attends. »

    Remettre sa petite culotte et son jean est de trop dur pour la gamine, qui s’est ramassée deux magistrales déculottées. Natalia, très prévenante la rhabille. Celle-ci me surprend un peu avec sa réponse, mais je ne relève pas.

    La mère, reprend alors sa fille par la main et nous quitte en s’excusant à nouveau.

    A suivre…dans le temps